De par son concept, Homeland était parfait pour une mini-série ou une saison unique et nous voyons donc déjà dans cette seconde saison les limites que cela entraine pour les scénaristes qui sont déjà partis dans une surenchère. Mais là où 24 finissait par jouer avec ce côté « too much» , Homeland se prend pour le moment bien trop au sérieux et cela entraine parfois une certaine exaspération devant certaines situations. Sans être honteuse, cette saison montre donc bien la difficulté de tenir la route pour des séries aux concepts aussi forts et dont les personnages peuvent vite devenir des caricatures d’eux-même. On espère donc que les scénaristes s’en rendront compte à temps pour ne pas faire la saison de trop.
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