Je préfère considérer cette série comme un test de résistance psychologique à la dépression-suicidaire démocratisé et accessible à tous pendant la journée, et peut-être même en rediffusion dans la nuit.
Non mais sans déconner, un vieux crouton pourri avec des lunettes dont on se demande même si à l'époque elles se faisaient, un manteau morbide, des yeux globuleux, une pure coupe de vieux beau, une montre en or et un petit pistolet noir, mais putain quoi !
(http://jmz.pulp68.com/wp-content/uploads/2011/02/derrick.jpg)
Flippant non ? Il a même un toutou avec lui qui fait office d'inspecteur-bis, et dont tout le monde se fout, même le titre de la série ne le calcule pas.
Une esthétique redoutable, de quoi hanter vos nuits. Derrick fait donc partie de ces étapes obligatoires dans la vie d'un individu.
Enfin bon, j'ai passé ce test avec brio puisque je vous écris actuellement. Et vous ?