Décidément nous sommes gâtés en terme d'anime comique en 2020. Après le chef d'oeuvre Love is War ( oui j'exagère peut être dsl), je ne pensais pas retomber sur un anime qui s'approche de son niveau de qualité.
Pourtant c'est le cas de Kakushigoto. Lui aussi mêle humour et scènes touchantes de manière brillante et possède des personnes principaux et secondaires très attachants. Le petit plus est son côté méta dans sa critique du milieu du manga et des peurs qui habitent les mangaka comme le syndrome de l'imposteur.
Les épisodes de cet anime concistent donc à une succession de scenettes en scénettes plus drôles les unes que les autres mais ont aussi une trame narrative qui les lient entre eux avec les différents flashforwards à chaque fin d'épisode.
Nous arrivons donc petit à petit à la fin de l'anime en étant impatient de voir la résolution des différents enjeux mis en place avant dont bien sûr la découverte de la petite Hune du secret de son père. Or c'est là le gros bémol de cet série, la fin tombe un peu à plat. Le twist est vraiment cliché (ce qui est clairement assuméé et énoncé dans l'anime) est résout par miracle touts les problèmes soulevés par l'histoire.
Cependant cette fin ne doit pas vous empêcher de visionner cette œuvre qui a coup sûr vous touchera en plein cœur