En lançant la casa de papel en plein confinement je m’attendais à un show divertissant, sans prise de tête, à base d’action et de stratégies à la ocean 11.
Certes le plan est effectivement sympa et méticuleux, mais un film de 2h suffirait à traiter ce que la série fait en deux parties. Que se passe-t-il le reste du temps vous demanderez vous ?
Rien. Ça pleure, ça s’embrasse, ça menace (mais ne passe pas à l’acte), ça s’énerve tout rouge, ça drague bref ça brasse du vent. L’aspect humain aurait pu être creusé, mais même pas, les personnages ne sont ni travaillés ni crédibles allez, peut être Nairobi). Les relations des uns et des autres servent des péripéties dignes de plus belle la vie. Et pendant ce temps là le braquage... N’avance... pas.
Lassée d’espérer 10 min d’action par épisode je ne regarderai même pas la partie 2. J’abandonne.
El professor a révélé assez vite vouloir faire durer la prise d’otage et gagner du temps. A ce moment j’aurai du comprendre qu’il parlait de mon temps à moi.