The Decameron forme un mélange rare et détonant de loufoquerie et d'indicible cruauté, où les moments géniaux alternent avec d'autres complètement WTF. Le tout servi par un casting majoritairement constitué d'une intéressante collection de faciès hors du commun, notamment féminins (la palme de la sur-expressivité revient à Saoirse-Monica Jackson, mais Zozia Mamet et Tanya Reynolds ne sont pas en reste chez ces dames, tandis que chez les messieurs, c'est le dénommé Douggie McMeekin qui décroche la timbale du rôle le plus allumé ).
Un OVNI qui m'a scotché jusqu'au dernier épisode, pas piqué des hannetons.