Laissez les femmes aux manettes pour Boba Fett !!

Final vraiment aléatoire shooté par Robert Rodriguez, le moins inspiré de tous
dans cette série. Frisant moins l'ennui dans celui-ci, mais plutôt la pantalonnade et le kitsch.
Le wookie, my god...Cad Bane, mouais...Rodriguez était tellement mieux avant avec ses Mariachis. Episode sauvé là encore par de jolis moments, une bonne bestiole, quelques bons effets, et surtout les retrouvailles que, perso, j'attendais un peu et que j'ai encore bien kiffé, la dernière scène aussi !
Je les kiffe depuis le début ces deux zigotos. Bref ! Du bon, du très bon, du moins bon, et du mauvais : Du Disney ! Bon appétit !

Décidément ce Book of Boba Fett est vraiment sur un courant alternatif. Quel épisode 6 !!!! Topissime et quel taf incroyable pour faire revivre luke. Gros kif proustien pour moi. Une délicatesse made in jedi. Touchant et grisant. Ah... si Boba pouvait proposer un tel spectacle a chaque épisode cette série serait une pure merveille.
Il alterne entre le minimum syndical paresseux et l'excellence. L'épisode 4 relevait le niveau du 3, vraiment soporifique et médiocre. Les épisodes 2 et 5 sont nettement plus longs, plus fouillés, plus fournis, plus travaillés autour des personnages; plus emballants, point barre. Disney joue avec nos nerfs !
Dans cet épisode 5 réalisé par Bryce Dallas Howard qui s'était déjà fait la main sur Mandalorian
( 2 épisodes plutôt pas mal ) il y a pas mal de choses croustillantes. Je ne les énumèrerai pas
mais il y a plein de subtilités qui ne figurent pas dans les autres épisodes. Et une maestria à un certain moment qui laisse sur sa FAIM. Pour rappel, The Tribes of Tatooine était déjà shooté par
une femme, Steph Green, qui picore ici et là dans de très bonnes séries quelques épisodes, aussi serait-il plus judicieux de laisser les femmes aux commandes, la différence est tellement manifeste.
On retrouve Mando et Peli Motto avec plaisir ( pour moi en tout cas) pour ne citer qu'eux. L'épisode est dense, et prenant. La scène de reconstruction du vaisseau est drôle, originale, et on en voudrait évidemment plus quand il se met à tournoyer, se rappelant aux belles heures des premiers Star Wars qui nous avaient tant emballés. J'ai peine à croire qu'ils aient compris, et nous continuerons probablement à alterner entre le bon et le moins bon, mais je ne peux pas décrocher pour autant. Au-delà, je suis pris par la musique et les créatures qui même dans les épisodes plus décevants tiennent à elles seules mon attention et me permettent de ne pas décrocher comme ce fut le cas avec le magnifique Banthas de l'épisode 4. Je trouve perso que certaines créatures et autres droïdes sont vraiment top et on ne les trouve qu'ici, alors ne boudons pas notre plaisir.
Hélas l'épisode 3 n'est pas du même acabit. Le 4 est nettement mieux. Dommage. J'y ai cru !
Mais ça reste qualitatif, et je ne boude pas trop mon mon plaisir dans ces nouvelles aventures en espérant qu'il y aura d'autres épisodes aussi prometteurs que le second.
Si la série monte en puissance comme avec cet épisode 2 juste magnifique, ça promet.
Voilà un épisode qui a assouvi un de mes rêves autour des scooters volants. Au-delà,
voir les tuskens est tout aussi original que kiffant. Cet épisode est d'ailleurs le plus long.
A méditer.

Ce pilote généreux comporte pas mal de personnages et de créatures que j'aime ou
qui m'ont marqué dans Star Wars. Avec Robert Rodriguez en lanceur de cette nouvelle série,
c'était une bonne idée. On retrouve naturellement, et c'eut été dommage que ce
ne soit pas le cas, la pâte Favreau; on a gardé les bons ingrédients : musique, ambiance, créatures, et une bonne distribution. J'aurais seulement apprécié que cela dure un peu plus longtemps. A peine 40 minutes pour un pilote, c'est raide. Mais bon. Comme d'hab, quoi.
Du Disney à la petite semaine. Disney veille au grain comme il veille bien aussi à ce que
le spectacle ne puisse subir aucune interdiction pour pouvoir plaire au plus grand nombre,
lissant et coloriant trop au passage certains personnages au point de vouloir retrouver celles d'antan. Je pense à mon éléphant bleu ( ouille ! ) et à mes rhinocéros ( arf ! ) manque cruel d'inspiration manifestement ( ou produits dérivés à venir plus vendeurs ? )

En 2021, j'ai peine à croire qu'ils ne puissent pas faire mieux en matière de maquillage à moins
de vouloir séduire les plus jeunes, ce qui rend Boba Fett forcément très gentil, et inoffensif, voire parfois limite théâtral, mais pour ma part, bien moins emmerdant que Hawkeye, et plus agréable à regarder. Comme l'avait été The Mandalorian. L'alternance Disney. Du bon, et du moins bon.
Mais Disney n'oublie pas de donner un peu de mou quand il faut. Affaire à suivre. Mais je continue d'aimer le style "Favreau-Star Wars" , nom d'un Sarlac !