Des gros plans incessants sur les lunettes rétros et la nuque longue d’un Tahar loin d’être hypnotique.
Des malaises constants entre les touristes et les sbires de ce gourou du vol ( une histoire vrai donc ce n’est pas la faute de la série si toutes les personnes rencontrées par « The Serpent » manque de discernement).
Ce qu’on ne comprend pas, c’est pourquoi les badauds lui prêtent allégeance alors que ce Alain n’a vraiment rien de charismatique ?
D’ailleurs, le complexe du héros sur le racisme dû à son métissage aurait peut être été plus crédible avec un acteur un peu moins babtou.
Une trame scenaristique qui n’avance pas on fait du sur place et on contemple comme dans les 400 premières pages de « Lord of Ring »
J’arrête au bout de 2,5 épisodes, convaincu que cette histoire ne m’emmènera nulle par et certain d’avoir déjà vu tout ce qu’il y avait à voir de « Le Snake » ( quel titre à la con tout de même )