C'est dire, j'attends goulument la fin de chaque épisode pour me retaper la chorégraphie qui n'a rien à envier à celle de Thriller
(Voir mon avatar pour ceux qui ne me connaissent pas)
Vous m'auriez demandé, la semaine dernière, mon avis sur John Cena, je vous aurais sorti une grimace que j'ai bien du voir dans la série, cette semaine.
On le sait déjà, James Gunn a réussi a faire un Suicide Squad qui ressemble à quelque chose mais rien ne laissait présager une telle réussite en terme de série. Car, lorsque on analyse ce genre de média, la production d'un épisode, voire d'une saison sur sa globalité, tient sur quelques scène particulièrement produites, quelques scènes conséquentes pour donner du lien à l'histoire et un nombre incommensurable de scènes de remplissage dans lesquelles les personnages déblatèrent des banalités qui suivent les courant sociétos de plus en plus influencés par les rézos.
La grande idée de Peacemaker, sur un postulat correct, sans être formidable, est d'employer un ex méchant réac et antipathique pour utiliser ses caractéristiques de gros con pour transformer toutes les scènes inutiles en scènes originalement ridicules et stupides, tout assumant les théories de bienfaisance sociétale actuelles. Ainsi, le décalage relativise les aspects des deux courants pour nous les rendre meilleurs, en tous cas acceptables sans pour autant les dénaturer.
Et finalement John Cena est formidable pour incarner ce gros beauf pataud qui révèlera bien plus, même si on peut en ressortir en ayant principalement retenu les non moins appréciables Freddie Stroma et Danielle Brooks ainsi que l'irréel Eagly.
Allez, vous n'allez pas partir sans en reprendre un petit coup
https://www.youtube.com/watch?v=HKnHrzdYQTI