Relecture gagnante du mythe Holmésien transposé au 21ème siècle.
Casting impeccable (pas évident de passer derrière Jéremy Brett),
Benedict Cumberbatch campe un Sherlock taciturne, aigri et railleur au possible (les vannes du premier épisode sont irrésistibles).
Porté par une réalisation soignée, le travail d'écriture sur l'épisode 1 et 3 est très réussie malgré un second épisode vraiment faiblard en comparaison des deux autres.
La faute à une intrigue mollassonne et à l'amourette de Watson maladroitement méné.
Vivement la suite!
Cet utilisateur l'a également mis dans ses coups de cœur et l'a ajouté à ses listes mon top séries et