Je ne m'imagine pas manger des pâtes au beurre tous les jours et pourtant je regarde des oeuvres SF qui racontent toujours la même chose, de la même manière, avec des sabots gigantesques éculés par 50 ans d'excursions hollywoodiennes dans ce domaine. Le twist de celle-ci est sa laideur visuelle étourdissante, de circonstance sans doute, à l'image de ces étages fades et cet escalier en subtile forme d'adn. Le rythme, qui semble être la bouée de sauvetage de la série dans les premiers épisodes, s'alourdit de manière considérable, rendant mon entêtement à finir la saison un challenge à ma mesure. Je ne sais pas si je mets le 4 à la série ou à moi-même à ce niveau-là.