Critique Skins Rise : James Cook.
Je découvre ou redécouvre des œuvres pour fuir un peu la réalité en cette période de remise en question.
Donc aujourd'hui, je me suis remis à Skins grâce à un ami qui m'a parlé du dernier double épisode de la saison 7 centré sur le retour de James Cook.
Bon, Jack O'Connell est très beau, sans être gay, il crève l'écran. La musique de Skins est toujours aussi perçante, on ressent cet arrêt sur image de la souffrance de la société.
Mais bon, je m'arrête là pour les compliments, Skins reste dans une imprévisibilité pure, ce scénario m'énerve, c'est du "Je t'aime moi non plus" puis ça en revient à la baise et au soit-disant sens de la vie.
Mais comment donner un sens de vie dans un manque de repère absolu ? Et bien, la sauce Skins est là pour argumenter : belle musique, violence urbaine, jeunes en manque de repère etc...
Bref, j'ai juste vu Rise pour James Cook, j'ai été touché par son renfermement, le personnage semble être dans une triste routine.
Si seulement le scénario s'était abandonné dans la tête de Cook, en une sorte d'évolution psychique, de remise en question au lieu de toujours le rendre triste, hésitant, pessimiste.
Bref, ce scénario n'a ni queue ni tête, je pense même en remémorant dans ma tête tout l'épisode qu'il ne suffisait que de se limiter qu'au premier quart d'heure, lorsqu'il erre dans la ville pour son travail, pour savourer cette dure routine de James Cook.
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