Sept saisons de mensonges, de trahisons et de vengeances. Ça tourne en rond en faisant vroum vroum. Le personnage principal se demande si c'est gentil d'être méchant. Alors il écrit un journal intime, tout comme son père avant lui. Mais ses démons se chargent de lui rappeler que finalement c'est bien de pouvoir tuer des gens, tant qu'il n'est pas raciste et qu'il ne fait pas bobo aux dames (enfin ça dépend quel genre de dames).
Dans le club de motards, on vend des armes et de la drogue mais on décide (ou pas) en votant comme en démocratie. On se fait des bisous entre hommes virils tout en se disant des "je t'aime" à longueur de temps. Et parfois on se met sur la gueule quand on a bu un panaché de trop.
Bref, vous l'aurez compris, on finit par se lasser à force de situations répétitives. Je sais pourquoi à l'époque je m'étais arrêté à la fin de la deuxième saison. Je me suis donc fait violence jusqu'au dénouement, aussi prévisible et futile que l'ensemble de la série.