Un symbole du " Wtf " japonais.
Attendez. C'est pas le genre d'œuvre qui se commente d'une critique bien construite intelligente. Je pense que je peux m'estimer heureux d'être arrivé à la fin des deux saisons (Sora no Otoshimono et Sora no Otoshimono: Forte) sans avoir perdu mon cerveau. Le schéma est intéressant, il suit généralement le type : Épisode qui fait avancer le scénario - épisode qui sert à rien - épisode qui fait avancer le scénario - etc. Mais un peu dommage cependant qu'on finisse par ne pas savoir grand-chose de la Synapse ou du Nouveau Monde.
Mais si Tomki est heureux et baigne dans un océan d'inventions de voyeurisme et d'ingéniosité pour satisfaire ces désirs de pitits coquins - et les nôtres aussi, message subliminal Astræa elle est trop bonne -, tout va bien ! Si Ikaros vit de longues histoires avec une pastèque, tout va bien ! Si Sohara utilise ses merveilleuses techniques de karaté contre Tomoki, tout va bien ! Si, également, Nymph se pose des questions existentielles sur son maître et si certains épisodes nous livrent des combats épiques très bien réalisés, tout va bien !
Rappelons que la série peut peut-être posséder du ecchi-hentai censuré dans certaines versions, mais si vous aimez les Angelroïdes, les pastèques, les systèmes ultimes de voyeurisme, les technologies de combat avancées, les trucs qui tombent du ciel, les savants fous qui n'ont qu'un but en tête, téléchargez-là par exemple chez Chibi-ko Fansub en HD s'il vous plaît, et foncez perdre le bout de cerveau qu'il vous reste ; mais bon sang, qu'est-ce que ça fait du bien !