Atlantis en carton pâte...
Deuxième déclinaison de la franchise stargate, Atlantis change de décors après SG1 : on a découvert une nouvelle destination avec la stargate, loin, loin, loin.
Et il faut beaucoup, beaucoup, beaucoup d'énergie pour y aller, sans espoir de retour rapide.
pfffff. Mais ça marche pas trop mal.
Disons le tout net, la série souffre d'un nombre assez incalculable de défauts, mais quand on aime on pardonne, c'est bien connu.
Allons y pour les défauts : parfois, on a l'impression de tomber sur un épisode de Xéna la guerrière ou de Hercule avec Kevin Sorbo. C'est mal joué, les décors sont laids et les combats risibles.
La série évite le pire et fonctionne bien, notamment grâce à un sens avéré de l'auto dérision. Le personnage du scientifique génial, canadien cette fois (pas de doute, c'est une spécialité de la série) est vraiment très bon et représente 80% du potentiel comique de stargate Atlantis, sur chacune des saisons.
Moi j'aime bien.