Sweet Toots n’est pas la série fantastique du siècle, même peut être pas de l’année, mais c’est le type de spectacle qu’on peut aisément ranger dans les séries ”familiales” plutôt bien agréables à suivre.
Elle ne prend pas la tête. Les décors naturels sont très beaux (tournage Nouvelle-Zélande), l’histoire est ”croquignolette” . J’ignorais tout de cette réalisation. Je ne savais même pas que cette série était basée sur une bande dessinée du même nom de Jeff Lemire.
Il est évident que c’est le type de série qui est ciblée pour les moins de 15 ans bien plus que pour les sexagénaires.
Nous sommes plus proches d’un Walt Disney que d’un David Cronenberg.
Je ne veux rien "spoiler" mais, en gros, on a droit à un monde post-apocalyptique dont le jeune héros, Gus, surnommé Sweet Tooth (Christian Convery), est un gamin de 9 ans coiffé de bois de cerfs.
Spectacle qui devrait surtout séduire les plus jeunes mais devrait plaire, aussi, aux plus grands qui ont conservé un peu leur âme d'enfant.