N'ayant pas fait attention à la structure proposée par SensCritique, je me suis permis de réaliser une critique globale ici. Je n'énoncerai dans cette partie que ce qui est ressorti de manière flagrante à mes yeux et que je n'ai pas spécifié dans la précédente critique.
Le véritable point noir de cet arc est vraiment son final en plus des révélations quant aux agissements de l'antagoniste. Rien ne semble avoir de sens. Alors, qu'on se le dise, le grand méchant à ses raisons d'être... bah, le méchant - du moins peint comme tel. Le problème, c'est que, en tant que spectateur, on n'y croit absolument pas. On s'insurge à l'image des héros devant l'absurdité des volontés de l'antagoniste ; à moins que cela soit véritablement le but des scénaristes, auquel cas c'est mission accomplie. Couplé à ce problème d'immersion, on a vraiment l'impression que le combat final, que le final même est largué à la va-vite, comme si il y avait une volonté de s'en débarrasser le plus vite possible sans accorder le moindre crédit à une logique scénaristique. Il y a certes de la beauté, de l'action et de l'émotion mais le tout est mis à mal, à mon humble avis, par ce choix étrange d'un finir le plus vite possible et de s'attarder plutôt sur le futur - pas forcément important - des protagonistes principaux.