I can see dead people (pas moi, lui)
Elle est un peu facile mais, en même temps, il le dit dans un épisode. Quelle ne fut pas ma jubilation !
Sinon, ça commence dans un ancien centre commercial, désaffecté mais pas désinfecté (bon sang je suis en veine là, vous devriez arrêter de lire maintenant, d'ailleurs le titre aurait dû vous mettre la puce à l'oreille), avec deux adolescents sur des vélos. Apparaît le corps de Nathalie Dormer, ce qui m'a fait plaisir car elle n'est pas l'actrice que j'apprécie le plus de voir sur écran. Peut-être est-ce dû aux Tudors, ou à GoT. Toutes mes confuses, c'est sans intérêt.
Faisant fi de mon énervement gratuit face à Nathalie (qui aurait fait merveille dans Penelope à la place de C. Ricci), j'ai poursuivi et bien m'en a pris.
C'est l'histoire d'un geek qui voit des morts. De méchants morts, sinon, "what is the f**in' point" comme diraient nos camarades anglophones. Ils (les morts, pas les anglophones) veulent conquérir le monde (comme tous les soirs, Minus) et le geek en question est notre seul espoir dans cette guerre (en effet, le but du jeu est de contrer l'attaque des morts, que ce soit clair entre vous et moi).
Entre les citations d'Alan Moore ou de Léia (pas de Star Wars, de Léia, on ne peut pas citer un film, non, on cite une personne, comme nous le rappelle le meilleur ami du super héros. Car oui, c'est une série didactique qui plus est. Et oui, il y a un meilleur ami. Ah, et une fille aussi. C'est bon on est au complet.), les fantômes prennent des forces (par un moyen bien peu ragoûtant).
Le monde risque de finir en cendres mais une poignée d'irréductibles dotés de pouvoirs des plus utiles veille. Qui triomphera ?
Ah, et trop de parenthèses tue la parenthèse je crois. Non, je suis sûre.