4 épisodes pas mauvais du tout qui font forcément penser à Boss : un gars au sommet tombe malade, hallucine et voit son passé ressurgir, uniquement dans sa tête. Dans le même temps, des adversaires lui cherchent des poux, euh, ouais, dans la tête.
Peter Mullan est excellent en chef de la mafia rangé des affaires, et un peu à la ramasse lorsqu'il faut remettre les mains dans le cambouis.
C'est bien écrit et bien réalisé. A l'inverse de Boss, on entre plus dans les hallucinations du personnage principal, bien aidé par quelques peintures bien choisies. Mais Brighton n'est pas Chicago : c'est une histoire à hauteur d'hommes, petits frappes albanaises ou anglaises, vils et lâches.
Bref, une petite série qui se dévore en un après-midi et qui en vaut la peine.