Kristen Bell est l'amour de ma vie. Il me semble important de commencer par cela.
Veronica Mars a bercé mon adolescence, et je me souviens encore de ces deux semaines de vacances que j'ai passé devant mon ordinateur à avaler les trois saisons en DVD, sans sortir, sans voir personne, à tel point que j'ai fait une crise d'agoraphobie (la seule et l'unique) en me rendant à la patinoire quelques jours après la fin de mon marathon.
J'ai probablement regardé tout ce dans quoi KB avait joué. Alors, quand j'ai vu qu'elle était à l'affiche de cette nouvelle série sur Netflix, je me suis lancée dedans, sans même regarder le reste du casting, l'histoire, le réalisateur.
Best choice I ever made. The Good Place, crée par Michael Schur, à qui l'on doit déjà les extraordinaires Brooklyn Nine-Nine et Parks and Recreation (deux de mes six séries hautement favorites que je peux voir et revoir inlassablement), est une série hilarante aux personnages attachants et à l'intrigue plus complexe qu'il n'y parait.
Le personnage d'Eleanor (et, hello, that's my name!) m'est tout particulièrement sympathique (et, oui, KB y est aussi pour quelque chose), cette trentenaire sarcastique, égoïste et tout récemment décédée, qui jure comme un charretier (et quelle horreur pour elle de découvrir que l'on ne peut plus dire fuck mais fork !), et se retrouve envoyé au "Bon Endroit" suite à une légère erreur de casting... La voilà qui se retrouve dans un endroit entouré des âmes les plus charitables et pures de la planète, avec pour âme soeur un professeur d'éthique anxieux et incapable de faire le moindre choix.
Situations cocasses, sarcasme et personnages secondaires magnifiquement écrits, The Good Place a tout pour plaire.
Vivement la suite !