Globalement, on reste trop en surface.
Ne pas traiter les étapes dans l'ordre chronologique est un souci, tout comme le fait de ne pas tout évoquer certaines équipes (mais ce point était prévisible).
L'incrustation de la voix de Pasteur semble parfois en décalage avec l'intensité de l'étape (final à Dunkerque ou étape de Roubaix surtout).
Donc sympa à regarder même en tant que suiveur assidu, mais ne pas trop en attendre. Ce constat n'a rien de bien étonnant, le cyclisme pro mériterait un traitement de l'ensemble de la saison (comme ce qui avait été fait avec l'équipe Movistar). Mais ça demanderait alors un autre budget que celui-ci, et de très nombreuses équipes pour la réalisation, ainsi que de trsè nombreux épisodes.