Les films à voir en 3D selon Fritz_the_Cat

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Tous les éléments du cadre semblent pensés et travaillés pour le relief. Etourdissant et hyper immersif. D'ailleurs, je me refuse à le voir une seconde fois, ça s'apprécie en salles, lunettes sur le pif.

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Le premier choc 3D du millénaire naissant, qui jouait habilement sur la profondeur de champ, l'épaisseur de la faune et la variété des décors, à tel point que la vision en stéréoscopie est un prolongement naturel du projet. Et aussi un de ses seuls films dont le thème s'accorde au processus : la redécouverte de sensations perdues par son héros en titre.

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L'autre grande expérience 3D de cette nouvelle vague en relief, et le seul avec Avatar à se justifier thématiquement : retrouver par un paradoxe merveilleux les sensations du cinéma des premiers temps, images d'archives à l'appui. Et les décors sont à tomber.

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N'assombrissant jamais la superbe photo, le relief devient entre les mains de Hark un objet incroyablement ludique et stimulant. Résultat : un pur serial à l'ancienne et pourtant très moderne.

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La réinvention du drame domestique et du soft porn, les deux étant intimement mêlés par une 3D qui magnifie même le flou. Unique et envoûtant.

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Associée à la remasterisation (également assurée par Cameron), la 3D souligne et magnifie la maîtrise de la perspective du metteur en scène - jadis visible, aujourd'hui éblouissante. Sans doute une des meilleures expériences relief qui soient, sans compter une re sortie qui tourne le dos à une quelconque nostalgie gluante. Iron Jim continue de regarder vers l'avenir, encore et toujours, et ça fait du bien !

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LA très bonne surprise : stop-motion et relief s'entendent à merveille, décuplant l'impact visuel de cette excellente comédie flibustière.

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Seule, la 3D serait anecdotique. Couplée à la HFR, c'est une expérience inédite et sacrément fragile.

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On craignait la pure carotte commerciale, Spielberg démontre au contraire que sa gestion de l'espace se prête idéalement à l'exercice. La première apparition du T-Rex sort grandie du procédé.

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VF obligatoire car vu en IMAX, mais la profondeur de champ étant au coeur du projet, le relief prend tout son sens. Très beau résultat.

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Du fun à l'état pur, qui balance guts, boobs and booties à n'en plus finir sur le public. L'éclate !

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Loin d'être indispensable, la 3D est une des plus agréables, fluides et soignées (aucune déperdition de luminosité ni sensation d'échelle réduite) que j'ai pu voir. Du superbe boulot, a fortiori pour un film post-converti !

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Sans être indispensable, le relief décuple les astuces de mise en scène d'Ang Lee, particulièrement le long-plan fixe qui ouvre l'épilogue. Du très beau travail.

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Film pénible mais sa 3D est une des plus ludiques que j'ai pu voir, quitte à s'afficher un peu trop.

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J'ai trouvé ça encore plus naze que le second, mais il faut reconnaître une fois encore un vrai travail sur le relief tout du long.