Les meilleurs animes japonais selon Maximemaxf Valentine

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Définitivement la série d'animation japonaise pour laquelle j'ai une affection sans faille : que ça soit l'écriture de Lelouch Lamperouge, les thématiques abordés en deux saisons, les personnages, la bande sonore vraiment géniale, le style visuel et les affrontements entre Knighframes ou son final, Code Geass sera un animé que je défendrais encore pendant un très long moment.

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Un vrai petit bijou de l'animation japonaise dans le milieu des animés : à la fois un hommage à de nombreux domaines culturels, drôle, bouleversant, mélancolique, superbe musique, très bonne animation, conclusion impeccable et des personnages tous traité comme il faut.

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Un énorme délire auquel j'adhère sans problème, ça arrive à surprendre et à pousser la démesure très très loin, c'est souvent drôle, l'animation elle est assez particulière et propre à la série mais ça m'a pas empêché d'adorer les personnages et tout le reste.

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Une adaptation très fidèle au manga mais avec un niveau d'animation quand même supérieur à la précédente (très bonne et différente du manga cela dit). Le manga étant écrite par une femme, ça fait du bien de voir que les auteurs de mangas ne sont pas que des hommes et qu'on peut aussi avoir un univers aussi large dans le cas présent. Et puis, que ça soit cette version ou l'autre, j'ai retenu la fameuse règle de "l'échange équivalent".

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On part lentement mais on accroche rapidement à nos personnages je trouve, surtout Gon et Kirua, un duo que j'adore suivre. Un méchant principal en la personne d'Hisoka qui est juste génial tant c'est un psychopathe en puissance, une animation qui s'améliore la plupart du temps contrairement à certains autre animé, et plus on avance plus ça devient vraiment sombre pour un shonen. Vu que c'est un reboot de l'animé, ça n'est vraiment pas plus mal je trouve, surtout quand on voit que les dessins des mangas sont pas géniaux.

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Comment résister à un concept aussi dingue : une nana rebelle de 17 ans qui se transforme en super guerrière avec une armure sexy grâce à ses vêtements et tout un monde qui marche grâce à ça ! Ah et, on a aussi le droit à une version animé de Jar Jar Binks en la personne de Mako mais en joli à regarder et en beaucoup plus drôle.

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Univers impitoyable et aux mystères voilées dont les réponses apportent un désespoir de plus en plus dévorant, "L'attaque des titans" justifient pleinement son phénomène actuel par sa qualité graphique ahurissante, la puissance dramaturgique de son récit, sa musique exceptionnelle et l'importance des enjeux de cette chasse aux titans.

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Dans la continuité de Bakemonogatari et Nisemonogatari : cette seconde saison adaptant les romans de Nishio Ishin pousse plus loin l'introspection intérieur de ses personnages en laissant les autres rôles s'illustrer à chaque arc, en plus de conserver son inventivité et son minimalisme dans sa réalisation, l'immense attachement à ces futurs adultes en proie au mal-être intérieur ainsi que la maîtrise des dialogues, et une conclusion toujours très juste à chaque arc.

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Malgré sa structure narratif linéaire et un antagoniste principal spirituellement imposant mais qui me rappelle quelques mauvais côté de "Phantom Blood" : Stardust Crusaders transcendent plus d'une fois ses faiblesses pour devenir un chapitre majeur de l'histoire de la famille Joestar. De sa patte esthétique déboulonnant et aux petits oignons en passant par un groupe de héros débordant de prestance, des situations continuellement variés et renouvelés lors des combats et des moments ultra impactant, Stardust Crusaders est un tournant indélébile dans la licence et surtout une excellente saison qui donne toutes ses lettres de noblesse à Jojo's Bizarre Adventure.

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Adaptation de la première partie du manga terriblement réussie pour l'épopée viking sanglante et cruelle de Thorfinn ou sa quête de vengeance est mise de côté pour un voyage dur doublé d'une plongée philosophique dans un monde barbare ou les hommes tentent désespérément de donner un sens à un conflit de longue date. L'ensemble peut se reposer sur une esthétique de très haute qualité made in Wit Studio, des personnages aux parcours enrichissants, des combats à la brutalité pleinement démontrée et mis en scène avec fougue, et une conclusion haletante pleine de promesse si la seconde saison voit bien le jour.

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Un coup de cœur comme j'en ais rarement. Si il manque un tout petit quelque chose dans le final, Psycho-Pass combine ingénieusement le polar futuriste bien pensé avec la science-fiction. L'équipe de la section 1 est très bien défini, les enquêtes variés et très bien reliés au fil rouge de la série, la patte visuelle et animé magnifique, le rythme maîtrisé, extrêmement sombre voire même très macabre, le traitement du personnage d'Akane Tsunemori est très bien géré et cette première saison exploite brillamment ses thématiques autour de la notion de loi et de justice et son automatisation. Une série à découvrir et à faire découvrir.

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Au delà de son postulat de départ totalement improbable (le premier générique parle pour cette série) et de quelques négligences, Assassination Classroom est un animé scolaire aux situations désopilantes nombreuses et réussies mais sachant aborder avec plus de sérieux et acorder un temps d'apparition à l'ensemble des élèves de la classe E. Rien que le professeur Koro justifie qu'on s'y attarder pendant ces 2 saisons.

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Une définition splendide d'une série qui se savoure épisodiquement à sa juste valeur : Mushishi dépayse et surprend par la maturité de ses récits, la simplicité de son animation, la richesse thématique de chaque récit sublimé par l'ambiance visuelle et musicale que propose le studio Artland. Un titre injustement méconnu qui mériterait un grand coup de projecteur.

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Adaptation qui soulève un peu la question de la fidélité à une oeuvre tant sa lenteur peut être questionné à divers titres. Mais passé cette barrière de la durée, "Monster" est graphiquement très soigné et n'a pas démérité pour sa réputation de thriller à grand suspens. Entre personnages à la psychologie torturée et approfondi (Tenma, Nina, Runge, Grimmer, sans oublier bien évidemment le célèbre Johann, véritable gueule d'ange portant le diable en lui), un jeu de chasse et d'enquête en eaux troubles très réflexive sur l'après Guerre Froide, une musique de qualité et des sommets d'intrigue sombre des plus mémorables, "Monster" a de quoi se poser à la table des plus grands.

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"♪ Hello Darkness, I'm ready to succomb ♫"

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Il aura fallu attendre pour voir un deuxième manga de Naoki Urasawa adapté en animé, et cette adaptation sur la plateforme Netflix est à cette fin de 2023 ce qu'Arcane était en 2023 : visuellement aboutie et fidèle aux nombreuses thématiques du manga (l'évolution de l'IA et robots, le parallèle avec le conflit en Irak, la dissociation de plus en plus fine entre l'homme et la machine), capable d'émouvoir avec un personnage le temps d'un épisode ou d'un demi épisode, des retournements de situations toujours aussi puissants, très probablement l'animé de cette année 2023.

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Le studio Shaft et Yukihiro Yamamoto joue la carte du détournement du magical girl classique pour aborder des thématiques atypique au genre et tromper les codes habituels. Nous servant un style visuel avec des astuces de mise en scène et de narration efficace, un quintuple d'héroïne chacune très bien traité avec leurs propres moment, une superbe ambiance musicale signé Yuki Kajiura et un ton tragique très bienvenu.

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Premier anime des studios d'animation Brain's Base pour une plongée des plus exquises dans une série chorale aux destins qui se rencontrent à travers un ton 30's très ancrée, une superbe BO, une galerie de personnage tous très bien utilisé et une animation réussie. Une fois passé deux premiers épisodes très bordélique, plus ça avance, plus ça s'éclaircit et les liens crées entre chaque période et chaque histoire se tissent très finement.

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Les deux premiers tiers sont quasi-irréprochable, le dernier tiers un peu plus faible et inégal. Death Note envoûte et ne fait preuve d'aucune pitié avec le face entre Light et L, l'écriture est brillante apportant son lot de réflexion et de thématique bienvenue et bien traité, l'animation et la musique renforçant la noirceur de l'intrigue sans oublier son héros aussi méprisable que fascinant à analyser. Mais cette adaptation perd légèrement en souffle dans le dernier tiers avec parfois des maladresses et incohérences au niveau de l'histoire et certains protagonistes moins accrocheur, néanmoins les bons points subsistent sans trop de mal.

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Avec cette adaptation fidèle au manga, la licence Ghost in the Shell revient à l'écran sous la forme d'une série qui reprend certains thèmes des films de Oshii (la robotisation, la société futuriste, le cybernet et le rapport au corps humain) mais ajoute aussi d'autres thématiques en deux saisons toutes deux très bien écrite.
On s'intéresse à chacun des membres de la section 9, l'animation est de qualité, les sous-intrigue maîtrisées (notamment celle du Rieur et des 11 individuels), le ton étant plus léger mais ne traitant jamais son sujet à la légère.
Et surtout y'a Patricia Legrand et la voix française de Schwazenegger, Daniel berreta, dans la VF.

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Même si les défauts de développement de personnages et les trous ou facilités d'écriture se font clairement plus présent et visible au fil de la seconde saison, Mobile Suit Gundam 00 en demeure pas moins une très bonne introduction à l'univers Gundam. En trouvant un excellent équilibre entre les combats de mécha dantesques, les thématiques autour des enjeux intimes et humains et les dénouements tragiques des personnages dans chacun des camp.

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(avis non définitif)

My Hero Academia suit la trame du manga à la lettre, mais pour un néophyte elle a le mérite de suivre un fil directeur bien construit avec une animation de qualité, de penser à l'évolution de quasiment chacun des élèves de l'académie super-héroïque de Yuei et de réfléchir à comment développer son concept et son histoire vers la bonne direction d'arc en arc.

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Best parodie ever ! Mention spécial au doublage français de Pascale Chemin qui est juste génial tant la comédien s'éclate en Excel, la reine des maladroites et des incapables qui n'arrête pas de nous faire rire.

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Stone Ocean est la rupture entre le Shonen et le Seinen tant Hirohiko Araki fait basculer sa balance narrative tellement loin qu'on en vient à tomber à la renverse durant le dernier tiers de cet animé qui, si il ne rectifie pas tout les problèmes liés à la partie 6 du manga (les Jojo's Bro's moins intéressants, les méchants secondaires oubliables pour la plupart, une écriture maladroite en matière d'intrigue en milieu de parcours et des soucis de cohérence avec les parties précédentes), atteint de tel sommet qu'on en vient souvent à les pardonner. Entre Jolyne en fer de lance parfaite pour cette partie 6, une inventivité toujours présente lors des combats, des nouveautés bienvenu, un antagoniste fascinant et un final en apothéose, Stone Océan aurait mérité d'être bien mieux promu par Netflix tant l'homologue animé est à l'image du manga en matière de folie narrative et créative.

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Voir avis complet sur "Battle in Egypt" !

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Une première saison pour le lancement de la saga "Monogatari" qui comble son manque de budget par son visuel abstrait et autres astuces d'animation, doté de dialogues souvent excellent, d'un univers aussi étrange qu'il est cohérent avec ses personnages et leur développement. Si certains n'adhèrent pas, moi j'en redemande.

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Effet mandale inattendu, Mob Psycho 100 dépasse rapidement son statut apparent de comédie fantastique animé loufoque et un brin débilos sur les bords pour peindre un tableau mature sur le complexe d'adolescence et le mal-être de son héros et des seconds rôles qui composent son univers. L'action y est plus d'une fois ahurissante et l'exploitation visuelle l'est tout autant, l'intensité bien réelle, l'humour efficace et les génériques d'ouverture excellents.

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Revirement surprise chez Masaaki Yuasa après l'adaptation désespéré du Devilman Crybaby de Go Nagai. Eizouken détonne par son esprit artisanal visuel attachant, ses idées nombreusement exploité dans sa direction artistique, l'immense capital sympathie de ses trois héroïnes excellemment interprété par ses actrices, et une exploration feel-good aussi amusante que renseigné des étapes de conception d'un animé japonais.

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Quatrième partie du manga changeant complètement de cadre avec "Stardust Crusaders" : "Diamond is Unbreakable" s'adapte efficacement à son nouveau style (la tranche de vie et la série d'enquête) en démontrant toujours l'étendue de sa créativité lors des combats et le potentiel des stands, doté de sa direction artistique qui ne ressemble qu'à lui, de sa superbe musique et de l'antagonisme le plus imposant de la licence jusqu'à maintenant. Dommage que le nouveau Jojo (sympa et amusant comme tout malgré tout) souffre inévitablement de la comparaison avec ses deux aînés en terme de charisme, qu'on ne soit pas épargné (en occident) de sa censure superflue et inutile lors de certains combats et des soucis de fluidité narrative et de rythme entre les intrigues secondaires et le fil rouge de cette saison.

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Comédie scolaire paternel spirituel d'Assassination Classroom qui ne s'embarrasse aucunement de retenue ou de politiquement correct dans la relation entre un ancien loubard devenu professeur et une classe de collégiens à problème. Les répliques sont croustillantes d'hilarité, Onizuka débordant de présence et de classe, la balance entre comédie et drame est très minutieusement gérée vis à vis des soucis liés à la scolarité japonaise abordé en 43 épisodes et la musique se retient. Dommage que tout cela soit refreiné par certains épisodes fillers inintéressant, certaines sous-intrigues neuneus et une fin improvisée plutôt expéditive.