Les meilleurs films avec Michael Biehn selon Frakkazak
6 films
créée il y a environ 4 ans · modifiée il y a 4 moisAliens, le retour (1986)
Aliens
2 h 17 min. Sortie : 8 octobre 1986 (France). Action, Science-fiction, Épouvante-Horreur
Film de James Cameron
Frakkazak a mis 8/10.
Annotation :
RIP les colons
Plus orienté action, dès le S du titre, cette mouture Cameron fait clairement le taf, avec sa galerie de personnages archétypaux mais fonctionnels, et surtout, une Ripley qui en a plein le cul. S'il y a ici moins de séquences mythiques que dans le premier opus, certaines répliques sont bien restées gravées en mémoire, et la mythologie du xénomorphe prend une direction intéressante avec sa Reine.
Abyss (1989)
The Abyss
2 h 20 min. Sortie : 27 septembre 1989 (France). Aventure, Drame, Thriller
Film de James Cameron
Frakkazak a mis 8/10 et a écrit une critique.
Annotation :
Cf Critique
Terminator (1984)
The Terminator
1 h 47 min. Sortie : 24 avril 1985 (France). Action, Science-fiction, Épouvante-Horreur
Film de James Cameron
Frakkazak a mis 8/10 et a écrit une critique.
Annotation :
Cf Critique
Planète Terreur (2007)
Planet Terror
1 h 45 min. Sortie : 14 août 2007 (France). Épouvante-Horreur, Comédie, Action
Film de Robert Rodriguez
Frakkazak a mis 6/10.
The Divide (2011)
2 h 02 min. Sortie : 1 juin 2012 (France). Science-fiction, Thriller
Film de Xavier Gens
Frakkazak a mis 5/10 et a écrit une critique.
Annotation :
Cf Critique
Rock (1996)
The Rock
2 h 16 min. Sortie : 31 juillet 1996 (France). Action, Aventure, Thriller
Film de Michael Bay
Frakkazak a mis 3/10.
Annotation :
Après quelques films d'animation japonais très touchants, je me suis dis qu'il me fallait un truc burné, un truc qui pète et qui nous présente des hommes, des vrais. The Rock étant considéré comme beaucoup comme un "bon" Michael Bay, je me suis dit pourquoi pas. Sans véritable surprise, c'était nul. Drapeau américain dans les trente premières secondes, un tramway qui se crash dans une explosion, trois différents niveaux de patriotisme entre bidasses, un coiffeur gay ultra maniéré, des blagues de beauf, un unique personnage féminin casse-couille (of course)... Le cocktail parfait du film d'arriéré. Rien de blairable dans la filmo de Michael "Boom Boom" Bay donc, si ce n'est l'exotique Pain and Gain.