Les meilleurs films de 1980 selon candygirl_

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8xBD + Livre - Stanley Kubrick : Un Réalisateur Visionnaire / Warner Bros.

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4K UltraHD + BD + DVD + Livret / Warner Bros.

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DVD / L.C.J. Éditions

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BD / Metro-Goldwyn-Mayer

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2xBD / Sony Pictures

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BD + Livret + Goodies / Warner Bros.

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BD / BQHL Éditions

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BD / StudioCanal

Formellement, c'est sublime. L'association David Lynch / Freddie Francis est jubilatoire. Le scénario est quant à lui un peu trop complaisant à mon goût, avec un axe étroitement ouvert pour le grand public. Lynch évite néanmoins certains écueils mais ne peut faire autrement que suivre le script et arborer certains clichés. Avec un autre travail d'écriture, le film aurait sûrement été un pur chef-d’œuvre intemporel.

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DVD / Warner Bros.

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BD / Carlotta Films

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23xBD - Intégrale Claude Berri Réalisateur / Pathé

En engageant sa sœur Arlette Langmann au montage (elle a fait ses armes aux côtés de Maurice Pialat), Claude Berri offre une nécessaire vitalité à son cinéma. En ce sens, ce savoureux et complexe portrait de femme qu'est Je Vous Aime prend une tournure inattendue et reste certainement le meilleur film de son auteur, en cette année 1980, après Le Vieil Homme Et L'Enfant.
Inspiré par son propre divorce, Berri utilise également l'histoire personnelle de Catherine Deneuve et de François Truffaut pour dresser un portrait sans concession et fort réaliste. Deneuve y est par ailleurs excellente en incarnant une trentenaire faisant le bilan de ses échecs sentimentaux.

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DVD / Warner Bros.

Un véritable trip métaphysique qui a malheureusement pris un sérieux coup de vieux en matière de SFX mais dont le récit reste passionnant. Fort de son expérience théâtrale, William Hurt (dont c'est le 1er film) reste exceptionnel dans le rôle de ce scientifique passionné et bien barré.

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2xDVD + Livret - Teléphone 1976-86 / StudioCanal

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BD + 2xDVD + CD + Goodies / Le Chat Qui Fume

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BD / Opening

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2xDVD - Le Court Des Grands / EuropaCorp Diffusion

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BR + DVD + Livret / ESC Éditions

BD / Wild Side Vidéo

Plutôt une suite de tableaux (souvent incohérente) où les personnages apparaissent les uns après les autres pour finalement disparaître. Énorme erreur de casting avec le fadasse Leigh McCloskey pour un projet qui a littéralement échappé des mains d'Argento en faveur des choix de la Fox. Restent la superbe scène de l'appartement inondé (intégralement réalisé par Mario Bava), les parfaites interprétations de Veronica Lazăr et de Sacha Pitoeff, ainsi que la fascinante et flippante apparition d'Ania Pieroni et son chat dans l'amphithéâtre. Le film, mal distribué, sera le premier four commercial d'Argento qui reviendra au giallo avec Ténèbres deux ans plus tard.

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BD + DVD + Livret / Rimini Éditions

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BD / Paramount Pictures

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BD + DVD + Digital / StudioCanal

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BD / Universal Pictures

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19xBD + Livre - Bertrand Tavernier : La Collection / StudioCanal

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BD / Carlotta Films

La passion éprouvée par De Palma envers Hitchcock est connue. Avec Pulsions, elle saute forcément aux yeux et c'est ce qui fait tout autant la force et la faiblesse du film. Œuvre psychanalytique écrite par le cinéaste américain, Pulsions revisite Psychose dans tous ses états en exposant une mise en scène digne d'un virtuose en la matière. Le découpage des plans est quasi parfait, bercé par une fabuleuse partition de Pino Donaggio qui s’accommode à merveille à la photo de Ralf Bode. Techniquement, le film est d'une beauté sidérante à l'image de son casting 5 étoiles où des "dinosaures" tels que Michael Caine ou Angie Dickinson s'affichent aux côtés d'une nouvelle génération représentée ici par Nancy Allen ou Keith Gordon.
Le problème, du moins à mes yeux, c'est que l'hommage envers Psychose est tellement appuyé qu'il en devient gênant, même parfois malaisant. Entre la mort soudaine de celle que l'on pensait être la principale protagoniste, les scènes sous la douche et les analyses psychanalytiques, qu'elles soient symboliques ou explicatives, De Palma s'égare dans un univers hitchcockien qu'il tente de mixer à sa propre maestria artistique. Avec Pulsions, ça ne marche pas forcément sur toute la longueur du métrage. Certaines scènes (comme celle avec les voyous dans la station de métro) sont souvent de trop, à l'instar de la répétitive nudité d'Angie Dickinson (sûrement doublée dans sa scène introductive) qui reste inévitablement inégale à celle de Nancy Allen (prostituée sexy en diable) qui ne dévoile absolument rien de son intimité puisqu'elle refusait catégoriquement d'être filmée dans son plus simple appareil. Bref, un métrage boiteux à mon goût qui aligne autant de maîtrise que de maladresse.

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BD / StudioCanal

Pour dresser le portrait d'un jeune homme qui tente de reprendre sa vie en main après être passé par la case prison, Claude Sautet s'essaie au réalisme et nous présente une galerie de personnages bien peu sympathiques (excepté le libraire gay incarné par Jacques Dufilho, seul perso' "positif" du métrage). Si Dewaere est comme d'habitude exceptionnel, j'ai eu un peu plus de mal à croire au personnage joué par Brigitte Fossey, trop clean pour être héroïnomane (Nathalie Baye, de la même génération, aurait sûrement été plus convaincante). L'histoire est prenante, la réalisation est tenue, mais je m'attendais néanmoins à mieux au vu de la réputation du métrage.

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BD + DVD + Livret / Artus Films

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2xBD / StudioCanal

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DVD / Aventi Distribution

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2xDVD + Livret / The Ecstasy Of Films

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BD + DVD + 2xLivret / Le Chat Qui Fume

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BD / Le Chat Qui Fume