Les meilleurs films de 2018 selon Nicolas_S

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Comment ne pas aimer un film qui, d'entrée, te dis que ceux de Raimi sont les meilleures adaptions des histoires de Spidey ?

Voilà un film qui, au contraire de Homecoming, a compris ce qu'est Spider Man mais est quand même capable d'en proposer une véritable relecture, on sent vraiment une passion des créateurs pour l'oeuvre de Marvel.

L'animation est très sympa et il y a des tonnes d'idées de réalisations, pas toujours de mon gout mais qui ont le mérite de mettre de la nouveauté en avant et ça fait vraiment du bien.

Le message est simple, mais fort, la bande son hip-hop est très cool, les personnages intéressants (même le méchant, c'est dire !) et tout est très bien écrit, comme dans cette courte scène avec Stan Lee qui m'a vraiment ému, un hommage que l'on sent très simple et sincère.

Un excellent film et ma très bonne surprise de cette fin d'année, c'est original, intelligent, émouvant, fun et vraiment réussi.

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Ce genre de film c'est ma faiblesse, Sidney Hall mélange tout ce qui me touche : le côté puzzle de l'intrigue, la relation amoureuse naissante entre ces deux adolescents, la poésie du personnage principal, les émotions qui fusent sans pour autant être tire-larmes. Vraiment avec moi ça marche.

La photo est sublime, les acteurs ont tous une cohésion authentique et notamment le duo Logan Lerman/Elle Fanning. Chaque personnage possède sa part de mystère qui rend le tout très touchant et qui s'ajoute à l'intrigue par petite touche pour compléter le tableau.

Un film simple et authentique qui, certes, n'est pas spécialement novateur, mais qui est rempli d'une sincérité fraîche et agréable.

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Nouvelle réussite pour Lars Von Trier qui livre une "comédie" très noire et un triste regard sur lui même. Si je regrette un peu le manque de subtilité dans la comparaison du tueur/artiste et dans la provocation parfois peu utile, le reste est vraiment excellent, tant dans le rythme que dans les choix artistiques (non mais la musique quoi !). Matt Dillon est incroyable, les 20 dernières minutes déstabilisantes et la fin, parfaite, ne tombe pas dans un choix qui aurait détruit ce que le film a mis en place.

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Alala mais quel plaisir ! Mission Impossible Fallout est absolument jouissif du début à la fin, en étant tout droit dans la lignée du 5 il réussit à s'améliorer encore plus. Comme son grand frère, le scénario est plutôt complexe et pas avare en retournements de situations bien pensés, parfois peut-être trop dans la facilité, mais qui permet aucune coupure dans la tension du film.

La réalisation est vraiment superbe, si le 4 et le 5 se ressemblaient un peu sur ce point, il faut avouer que c'est également le cas ici, surtout avec McQuarrie à nouveau à la barre, mais n'empêche que certaines idées fonctionnent très bien et certains plans, surtout à la fin, sont magnifiques.

Les scènes d'actions sont encore très bien équilibrées, McQuarrie sait prendre son temps pour faire quelque chose de rapide, lisible et intense. On sent vraiment la tension qui entoure des personnages intéressants, pas seulement pendant les scènes d'actions, mais aussi dans le scénario. Chaque danger se ressent, chaque mort est dure et le résultat est vraiment puissant.

J'ai vu plusieurs scènes en retenant mon souffle, certainement aidé aussi par l'IMAX 3D vraiment immersif, et j'ai passé 2h20 en pleine tension sans me faire chier une seule seconde.

En bref, un film intense et un blockbuster plus que réussi !

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Fiou, ça faisait longtemps que je n'avais pas vu un thriller aussi intense, un huis-clos très bien écrit, imprévisible, avec un passage spécial particulièrement puissant, le travail sonore est impeccable et retranscrit à la perfection ce que le personnage vit. Pour un premier film c'est une grande réussite.

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Film puissant et oppressant, qui doit beaucoup à son personnage très attachant et pour lequel on comprend assez vite les motivations. La réalisation est superbe, Marcello Fonte livre une interprétation fantastique et Matteo Garrone, lui, propose un regard assez sombre et triste du quotidien actuel et ce, tout en métaphores.

C'est vraiment bon, très dur et rempli de tension : du début où l'on comprend que le personnage est dominé, jusqu'au climax final glaçant.

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Ça faisait bien longtemps que je n'avais pas vu un film aussi étrange, intriguant et mystérieux. Si les références ne manquent pas, aussi bien du côté cinématographique avec les évidant David Lynch et Alfred Hitchcock - Mullholland Drive et Lost Highway en tête (dont la présence rapide de Patrick Fischle ne fait qu'y ajouter une couche), mais aussi Fenêtre sur Cour - que du côté des comics et autres "fanzines", ou encore de l'univers musical, le film de David Robert Mitchell est pourtant bien unique.

Under the Silver Lake c'est un mélange dans lequel on ne sait pas trop comment se situer, entre ce style 70's, ces scènes de folies parfois effrayantes entre rêve, fantastique et réalité ou cette intrigue halluciné, on a vraiment la sensation d'être aussi déboussolé que le personnage d'Andrew Garfield, cherchant nous aussi à connaître le fin mot de l'histoire.

Toutes les clefs de ce labyrinthe sont là, il ne reste qu'à les assembler. Et en attendant de bien tout pigé, on profitera surtout de cette superbe réalisation complètement décomplexée et inventive qui montre que ça s'amuse bien derrière la caméra.

David Robert Mitchell développe une nouvelle fascination pour l'étrange et le mystère comme il avait déjà pu le faire avec le très cool It Follows, et se confirme ici comme un réalisateur à suivre pour la suite !

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Grand western contemporain, Hostiles fonctionne avec une fluidité surprenante, avec son ambiance posée, sa violence jamais gratuite, son histoire et ses questionnements sur l'Amérique tout en reprenant les codes du western sans jamais se contenter de les appliquer à la lettre. Il pose beaucoup de questions sur le métier de soldat, la vengeance ou la rédemption. Le film de Scott Cooper se veut complètement anti-manichéen, l'Humain est pris dans sa globalité et pas à travers une quelconque "race" ou ethnie et amène les personnages à entreprendre des changements intéressants.

La réalisation est superbe tout en restant "simple" dans le bon sens du terme, accompagnée par la musique sublime de Max Richter et sans oublier les acteurs vraiment bluffant, notamment Christian Bale qui réussit à offrir des scènes vraiment fortes et touchante.

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Waw. Franchement là ça marche, le scénario est vraiment bien foutu, complet et dense, les personnages sont intéressants et bien écrits. La réalisation aussi est vraiment bonne, pleine d'idées, la peur est souvent subtile et loin des screamers putasiers des films d'horreurs aseptisés. Ça va jusqu'au bout de ses idées, certaines scènes sont vraiment choquantes dans la façon dont elles sont fièrement montrées à l'écran.

Je regrette vraiment de ne pas l'avoir vu au cinéma, je pensais que c'était encore ce genre de film devant lequel tout le monde s'extasie et qui est finalement totalement banal.

Vraiment un film à voir dans de bonnes conditions, qui m'aura même fourni quelques coups de chaud et, vraiment, ça faisait longtemps.

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Damien Chazelle livre un film intimiste en toute modestie, un drame humain passionnant et émouvant qui présente, sans trop en faire, l'un si ce n'est le plus grand exploit de l'humanité. Si on regrette quelques longueurs, la montée crescendo des événements fonctionne parfaitement et ne fait que rendre plus sublime la vertigineuse et angoissante beauté de l'univers, jusqu'au bouleversant passage sur la Lune qui choisit de mettre en avant l'homme plutôt que le héros.

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Phantom Thread respire la haute société anglaise des années 50, des décors aux personnages en passant par les attitudes et l'aspect de l'image. C'est un film qui rappel beaucoup There Will Be Blood dans sa construction notamment et dans l'évolution de ses protagonistes, à travers une histoire d'amour empoisonnée qui révélera à chacun la vraie nature de l'autre.

Si je regrette tout de même quelques longueurs, Phantom Thread reste un film puissant, terriblement bien écrit, sincère et tout simplement réussi, un bon retour après un Inherent Vice que je n'avais vraiment pas aimé.

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J'ai vraiment bien aimé, c'est très beau sur les relations humaines et les liens qui peuvent se tisser entre des personnes pour lesquelles tout s'oppose. On s'attache beaucoup aux personnages de John C. Reilly et Riz Ahmed, tandis que ceux de Jake Gyllenhaal et Joaquin Phoenix sont intéressants pour leur interprétation impeccable (même si c'est également le cas pour les deux autres).

La deuxième partie est plus calme, mais je trouve qu'elle fonctionne très bien aussi, surtout pour son regard sur les bases des USA.

C'est juste dommage que la réalisation soit aussi classique, surtout avec une si belle photographie qui offre des plans magnifiques.

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C'est clairement le penchant que je préfère chez Steven Spielberg, le thriller politique, celui qui dépeint les hautes sphères de la société. Il y a un ici tout un discours particulièrement bien écrit sur la liberté de la presse mais aussi sur la place des femmes dans ces grands milieux. La réalisation est millimétrée. Seul défaut, la difficulté d'accès du sujet, même si ces "Pentagon Papers" ne sont finalement pas le principal intérêt de l'intrigue.

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Un beau film bien que parfois un peu facile dans sa critique. Ça reste le genre d'histoire qu'il est important de raconter, partout dans le monde...

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Petite déception, la première partie est remplie de longueurs inutiles et fonctionne sur la même base : exposition -> baston, puis un autre petit groupe : exposition -> baston.

La seconde partie est bien plus efficace je trouve, même si le début de la bataille au Wakanda est assez naze, le reste montre de gros enjeux et réussi à mettre en avant la puissance de chaque héros/ennemies (enfin Thanos quoi) comme le faisait très bien Civil War.

J'avais peur que le film soit trop dans l'humour, il y en a, c'est toujours bien la recette Marvel, mais c'est fait de manière très efficace et laisse souvent place à des moments plus calmes et contemplatifs qui permettent une plus grosse impression d'enjeux. Thanos est vraiment réussi, on va même jusqu'à avoir parfois une certaine peine pour lui, ou à comprendre sa vision des choses, c'est clairement un méchant intéressant qui apporte beaucoup de bonnes choses dans l'univers.

Sauf que j'ai un problème : il y a une suite, et c'est dommage en soit car au vu de la fin, on sait par avance que beaucoup de choses vont être "gâchées". Tous cela enlève énormément au film et si c'était déjà le cas avec Civil War, les enjeux n'étaient pas aussi important, là on sent plus que jamais l'aspect "bande annonce" qu'a chaque film Marvel.

Bref, petite déception donc, mais bon moment, on à ce qu'on va voir, mais pas beaucoup plus.

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Bonne première réussite pour Paul Dano, un très belle photographie, bien écrit et deux, ou plutôt trois acteurs talentueux, Ed Oxenbould étant particulièrement convainquant.

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Beaucoup de bonnes idées, pas mal de mauvaises aussi, ça aurait mérité plus de temps de réflexion je pense, mais s'il est difficile de rentrer dedans au début, plus le film avance et plus l'ambiance devient intéressante, forcément aidé par les belles images.

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Bon voilà, c'est bien une petite déception quand même tant la bande annonce m'avait donné envie. Déjà c'est vraiment long, on aurait pu aisément retirer 15/20 minutes au film sans en perdre vraiment d'intérêt, mais surtout je trouve la réalisation assez hasardeuse, autant la photo a un style très particulier qui fonctionne, autant la mise en scène, elle, en fait souvent trop. On dirait que Luca Guadagnino à essayer d'expérimenter beaucoup sauf que ça prend vite la forme d'un brouillon, avec des plans en mouvements en trop là où un "simple" plan fixe aurait suffit par exemple. Pareil pour le montage parfois vraiment trop cuté et même chose pour l'écriture pas toujours très efficace.

Pour le reste, la BO est incroyable, y'a pas à dire Thom Yorke, qu'on l'aime ou non, a beaucoup de talents. Tout l'aspect horrifique des corps est vraiment saisissant, parfois un peu too much mais globalement ça fonctionne très bien dans ce style très organique et malsain.

D'ailleurs, c'est marrant de voir que le public sort de la salle ou rigole d'un rire nerveux aux moments les plus malsains du film, ça prouve bien que les gens aujourd'hui ne cherche pas à voir quelque chose qui les dérange ou qui les met mal à l'aise comme devrait le faire un film d'horreur, mais plutôt à simplement avoir un petit frisson face à des jumpscares sans saveur...

Alors voilà, petite déception donc, mais globalement ça reste une proposition intéressante et bien au dessus des infâmes daubes horrifique qui sortent chaque années.

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Un mystère intéressant mais dont j'ai assez vite deviné la résolution. Un rythme un peu lent également, mais rattrapé par la maîtrise visuelle.

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Belle photo, réalisation maîtrisée, mais quelques problèmes de rythmes rendent certains passages vraiment longs. La comparaison avec Tarantino est (trop) évidente et malheureusement tout le monde n'a pas sa science du dialogue et du "cool", j'ai parfois eu l'impression de voir un "sous The Hateful Eight", reste que ça se laisse regarder et il y a quand même de bonnes choses à retenir, en particulier la performance des acteurs.

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C'est sympa mais il manque un truc, c'est pas vraiment ce que j'attend d'un film "Astérix".

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Roma est un très certainement le film le plus intime d'Alfonso Cuarón, c'est visuellement très beau, le noir et blanc est magnifique et la réalisation lancinante aussi, mais je me suis senti tout aussi détaché que celle-ci. Du début à la fin, peut importe les évènements, la caméra ne le "ressent" jamais, c'est filmé de façon très "naturaliste", qui a pour but de montrer sans essayer de pousser aux émotions.

Il est compliqué de me faire un avis, je vois ce qu'essaye de faire Alfonso Cuarón, mais je ne me sens pas plus impliquer que ça dans cette histoire finalement assez ennuyante, à l'image de la vie répétitive de son personnage principal.

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Le film est très drôle, ne se prend pas la tête avec un scénario "prétexte", c'est simplement la suite des aventures de Deadpool et c'est très bien comme ça. C'est toujours violant et trash, plus que le premier même si ça reste de la violence très drôle et jamais vraiment choquante.

Par contre je trouve le rythme très étrange, parfois ça va à 200 à l'heure en enchaînant blague sur blague (et qui fonctionnent), et parfois on a des moments où je me suis fait vraiment chier pendant 5/10 minutes et ça arrive à plusieurs reprises.

Je regrette aussi la fin, celle du gamin et de Cable principalement qui créaient une sorte de dissonance étrange entre le côté "subversif" qu'on veut donner aux personnages et le côté "quand même faut pas exagérer, on va faire une fin heureuse". Finir sur des morales totalement acceptables, je trouve ça nul.

La scène post-générique est géniale.
Domino est le meilleur personnage du film.
Le caméo de Stan-Lee est enfin redevenu un caméo discret qu'il faut s'amuser à chercher.

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Sentiments partagés à la fin de ce film, d'un coté le message est bon, de l'autre ça ressemble beaucoup aux films clichés pour ados rebelles décomplexés, avec cette mise en scène très fluide et propre et ces lumières colorées et néons qui rappelleront forcément le Spring Breakers d'Harmony Korine.

Les personnages sont assez peu développées et parfois même énervantes, mais le gros problème reste quand même la subtilité mise au placard : la ville de Salem qui pourchasse 4 filles jugées trop "différentes/décadente"... on a vu plus fin.

Puis arrive la confrontation entre ceux aux idées progressistes extrême qui s'opposent aux débilos arriérés, et s'il faut avouer que voir quatre nanas habillées de trench vinyl rouge qui passent en mode ninja commando sans pitié est assez jouissif dans le délire too much, je ne peux m'empêcher d'y voir de la violence qui tente d'être résolue par plus de violences. Il y a quelque chose d'étrange entre l'envie de faire une production impertinente et celle de l'ancré dans une réalité connue. Heureusement que la dernière partie apportera un peu (vraiment très peu) de nuances dans "les camps".

Ducoup je me sens assez perdu, film qui cherche vraiment à faire passer un propos ou juste gros délire pas totalement assumé ? J'en sais rien et la fin complètement minable ne fait qu'accentuer cette question.

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Et bah c'est plutôt pas mal malgré beaucoup de problèmes notamment sur la direction des acteurs pas toujours terrible, mais sinon on ne s'ennuie pas une seconde, le mystère est solide et les personnages font des choix intelligents. Je trouve quand même dommage "d'expliquer" la situation par un "ta gueule c'est magique" mais on ajoute à ça un sous propos, pas toujours très subtile, certes, mais qui a le mérite d'essayer.