Les meilleurs films de 2022 selon Tchitchoball

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8 (C)

Pour ma part, malgré les quelques retours tièdes que l'on peut lire ça et là, j'ai bien pris mon pied devant le film. Je trouve d'ailleurs que Matt Reeves est un artisan talentueux parvenant à livrer des blockbusters tenus et divertissants. La trilogie de la planète des singes récente est une réussite totale me concernant. De concert avec Fraser et Giacchino, on a peut-être le blockbuster le plus solide techniquement de l'année. Le fossé est d'ailleurs gigantesque avec les Marvel ou même le DCCU.

Après je reconnais que Pattinson en ado rebelle Wayne me laisse un peu de marbre. Bien que sa trajectoire me paraisse cohérente, j'ai eu un mal de chien à entrer en empathie pour lui. Mais à part chez les frères Safdie, je peine à être convaincu par l'acteur de manière générale. Heureusement, il est bien mieux en Batman, et justement il porte le masque pendant les 3/4 du film. Il y a aussi quelques soucis scénaristiques et tropes lourdingues. Et au vu de la noirceur du film, je regrette une certaine timidité à dépeindre la violence graphique et à trop utiliser le hors champ. Une interdiction de -16 ans aurait été bien venue à mon sens pour rendre Gotham encore plus poisseuse.

Cependant, les 3 heures ont filé à toute vitesse, ce qui n'est pas rien (je m'emmerde plus devant LOTR). Je pense que c'est du à l'ambiance glauque et pesante de Gotham magnifiquement rendu et à l'angle choisit de mener une enquête à la Se7en qui me parle énormément. On fréquente davantage les mafieux des bas fonds de Gotham que les monstres en latex. Une réussite servit par un superbe casting (je reste bouche bée concernant Colin Farrell en Pingouin). On atteint pas les sommets Nolaniens de TDK mais c'est quand même plaisant de retrouver un film aussi bien tenu après les nombreuses déconvenues de l'écurie Snyder.

Ayant fait récemment le premier volet Telltale Batman, j'ai retrouvé pas mal de similitudes au niveau du scénario. Je peux même dire que la trame de fond demeure la même avec plusieurs personnages récurrents. C'est intéressant de décortiquer les choix qui ont été opéré à certaines bifurcations.

Je signe directe pour un autre Batman avec Reeves aux commandes surtout si il suit la montée en puissance de Nolan alors que je trouve déjà celui-ci plus réussi que le Begins.

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8 (C)

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8

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8 (C)

Je ne sais pas si le film mérite une palme, mais malgré la grossièreté de la satire, j'ai beaucoup aimé. Je ne m'attendais pas à une telle durée et j'ai été agréablement surpris par le troisième acte allant toujours plus loin et se clôturant à mon sens de la meilleure manière avec l'avant dernier plan. Je craignais les délires scato de l'ami Ruben annoncés dans la BA. Mais sur un bon Refused et avec les punchlines du commandant Harrelson avec le capitaliste russe, ça passe tout de suite mieux.

Certainement pas le film le plus pertinent de son auteur, mais de loin le plus jouissif.

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7,5 (C)

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7,5 (C)

Pour ma part un film doudou dans lequel on se bien entre nostalgie et sentiments contraires. On est bercé dans un flot mélancolique des plus appréciable. La magnifique photographie ainsi que la BO avec une nappe électro délicate participe à cette ambiance si plaisante. Et pourtant je n'ai pas vécu sur Paris et encore moins dans les années 80 mais on aime tellement cette petite famille qui galère et trébuche parfois mais donne énormément d'amour à certains instants clés. J'ai eu un peu de mal avec le personnage de Charlotte Gainsbourg qui pleurniche énormément mais cela fait sens dans la reconstruction et la prise de confiance nécessaire pour aller de l'avant. Et je crois que j'ai un crush sur Noée Abita qui illumine chaque scène de sa présence. C'est fou comme son spectre plane sur le film même lors de ses absences.

Rien de révolutionnaire dans cette petite chronique familiale. Pour autant, j'ai passé un moment très agréable en leur compagnie.

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7,5 (C)

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7,5 (Netflix)

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7,5 (Netflix)

C'est l'évidence de voir Del Toro s'accaparer le conte de Pinocchio, surtout lorsqu'on le situe dans l'Italie fasciste de Mussolini. Et c'est logiquement une réussite à tous les niveaux. Visuellement c'est splendide. J'ai toujours autant de respect pour les créations en stop motion et la montagne de travail qui en découle. Le résultat en vaut la chandelle. Bien que le numérique accompagne certainement quelques raccords, on gagne en matérialité brute. Une référence en la matière assurément.

Ensuite, le film peut se montrer cruel et difficile et n'épargne pas son spectateur. On a de ce fait énormément d'empathie pour Gepetto dans son chagrin. La voix off de Cricket (superbe choix de casting de Ewan McGregor) nous berçant dans des flots de mélancolie intenses achève de retourner le spectateur.

Je regrette uniquement quelques facilités et deus ex grossiers lors des séquences plus mouvementées vers le final. Tout s'enchaîne un peu trop rapidement à mon goût et quelques pistes semblent éludées ou ratées.

Néanmoins, le Pinocchio by Del Toro est une belle réussite de cette fin d'année 2022. Une réussite Netflix par contre.

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7,5 (C)

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7,5 (C) Hallucinations Collectives

Je me rends compte que depuis The House of the Devil, j'avais complètement laissé de côté Ti West. Et bien, retour gagnant avec Pearl. C'est maîtrisé de bout en bout avec un très beau / fort personnage principal. Et Mia Goth absorbe toute la lumière. Une prestation remarquable. Curieux de voir X et MaXXXine désormais. Il était là le grand prix pour les Hallu !

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7,5 (C)

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7,5 (C)

Comme d'habitude, j'ai été légèrement frustré à la sortie du dernier Dupieux. Encore l'impression d'être face à un objet inédit, curieux et plein de promesses non abouti. Sentiment renforcé par la suite de sketchs à l'écran hachant le récit principale de la Tabac Force. Mais après avoir laissé décanter quelques jours, je pense que Fumer fait tousser est une œuvre bien plus maîtrisée et pessimiste qu'il n'y paraissent. En sous-texte, c'est bien la peur et les angoisses de notre époque qui surplombent le film. Et réussir à formuler un propos aussi pessimiste au sein du comédie menée tambour battant, j'appelle ça un petit tour de force. Un réalisateur en pleine possession de ses moyens livrant un film intelligent, unique et hilarant me concernant. Peut-être mon Dupieux préféré.

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7,5 (C) HFR 3D

Je surnote certainement pour le spectacle offert par Cameron. C'est con, mais cela fait belle lurette qu'un blockbuster n'avait pas aussi bien assuré la partie grand spectacle. Pour l'occasion, j'ai découvert la technologie HFR et je trouve cela assez révolutionnaire. Elle est peut-être là la clé pour réellement se démarquer des plateformes de SVOD pour le grand public. En tout cas, davantage que dans la 4DX à mon avis.

Dommage que l'écriture ne suive pas. Comme pour le premier opus, je trouve les personnages assez fades et l'antagoniste principal cliché (bien qu'il y est quelques efforts pour l'humaniser). Mais le conflit avec les humains demeurent laborieux et Cameron aurait tout intérêt à mon sens à se focaliser sur Pandora et sa faune. Cette invasion humaine l'encombre plus qu'autre chose.

Cependant cet épisode 2 place ses pièces intelligemment pour la suite avec quelques pistes prometteuses. Je suis tout de même enthousiaste. En espérant qu'il parvienne à gommer ces quelques défauts d'écriture. De toutes manières, cet univers original est bien plus prometteur que les nombreuses phases à venir du MCU.

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7 (C)

Un visionnage particulier me concernant et assez éprouvant. Le film lorgne vers un cinéma documentaire à la L627 de Tavernier au sein de la PJ. Interrogatoires dans des bureaux étriqués, formulaires à remplir, jargon technique et photocopieuse défaillante sont à l'honneur. Mais la force de la Nuit du 12 réside dans son constat amer sur l'incompréhension des générations. La violence lancinante entre les hommes et les femmes.

Et parce que le film est réussi et solidement réalisé, cela a été douloureux de constaté que l'entièreté du métrage était filmé à 10 minutes de chez moi. J'ai reconnu les lieux de tous les plans (très beau plan sur la Croix des Têtes au passage) et même ceux en extérieur sur Grenoble.

Et l'ironie sordide est qu'à peine 7 ans après les faits, je ne me souviens absolument pas de cette affaire...

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7 (C)

Bon, sans surprise, j'ai passé un super moment devant le dernier Mouret. Comme à chaque fois. Il est une fois de plus très drôle et glisse lentement vers une mélancolie et une tristesse du temps qui passe et des êtres chères que l'on perd. C'est brillant tout du long. Hélas, j'ai une grosse réserve sur le final qui me paraît assez raté et redondant, expliquant tout ce que sa mise en scène avait déjà capté brillamment. Un petit raté étonnant de la part d'un auteur qui m'a habitué au timing de générique de fin parfait.

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7 (C)

Cela fait plaisir de regarder un film aussi délicat, sensible et bienveillant envers ses personnages surtout sur un sujet difficile et peu abordé. Bien que le film pédale un peu à mon goût et que certains choix de transitions et de fondus me dérangent, je trouve le film pertinent et très précis. Je découvre avec ce film une réalisatrice très prometteuse au style naturaliste mais maîtrisant parfaitement l'art de l'ellipse. Inutile de préciser que Virginie Efira est une fois de plus épatante ! Belle surprise !

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7 (C)

Toujours aussi intéressant de voir Stéphane Brizé décortiquer le monde du travail et les dérives du système capitaliste actuel. Vincent Lindon rempile pour ce qui s'apparente à une trilogie avec La loi du marché et En Guerre. Seul le point de vue change, car on suit ici un directeur de site (en opposition aux ouvriers du film précédent). C'est brillamment interprété, comme toujours. D'un naturel confondant, et assez effrayant il faut le reconnaître (Brr Marie Drucker). Et j'aime les quelques idées de mise en scène qui parsèment le film comme une visite pour acheter une maison. Splendide.

Bien que Sandrine Kimberlain amène l'essentiel de l'émotion, elle est hélas en retrait durant le film. Le métrage peine a mêlé la vie de famille avec les soucis vécus en entreprise. Et comme d'habitude, Brizé a tendance à rajouter une couche de pathos qui me paraît inutile (je pense ici à l'adolescent incarné par Anthony Bajon, bien que ce soit raccord avec l'effroi que cause le monde du travail).
Un solide film qui mérite le coup d'oeil mais qui accuse de quelques facilités ou maladresses. Mon préféré restera En Guerre qui m'avait scié par sa radicalité contrairement à ce que propose le final de Un autre Monde.

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7 (Arte +7)

Les nuits de Mashhad s'articule en deux phases bien distinctes autour d'une série de meurtres visant uniquement des prostitués dans l'Iran de 2000 / 2001. Une première versant dans le thriller esthétique inspiré par le cinéma occidental. Chacun pourra juger de l'utilité de nous montrer des meurtres similaires successifs et insistant dans le glauque. Pour ma part, je trouvais que le réalisateur ridiculisait le prétendu vengeur saint. Mais je rejoins les critiques sur le problème du point de vue de cette première partie. Ali Abbasi est davantage fasciné par le serial killer et ses motivations que par l'enquête. Et cela se ressens. Quitte à sacrifier la journaliste qui semblait être le personnage principal et le point d'accroche émotionnel du spectateur.

Néanmoins, le film gagne à mes yeux en pertinence dans sa seconde partie. La transmission du MAL nous est jeté à la figure dans sa manière la plus simple et terre à terre. C'est bien là le plus triste et terrifiant constat du film. Une œuvre inégale mais aussi importante que marquante. Le film de festival en somme puisqu'il n'y a plus grand chose d'iranien dans le film et que la censure fera le reste. Pour autant, cette limite n'a aucunes raisons de l'empêcher d'exister.

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7 (C)

Un vrai régal que cette satire corrosive du monde déconnecté du cinéma. Jeux de dupes, situations absurdes et joutes verbales s'enchaînent délicieusement. Notamment grâce à la composition de son trio de tête. Trois illustrations dissemblables du 7e art mais avec comme point commun une estime de soi et un orgueil insupportable. C'était tellement sympa que je regrette de ne pas avoir eu quelques scènes de tournages en plus. Ici, uniquement les phases de lecture sont à l'honneur. Une comédie grinçante efficace pour qui s'intéresse à ce monde merveilleux qu'est le cinéma.

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7 (C)

Bon, je devais voir le James Gray et puis je me suis bêtement planté d'horaires pour me rabattre sur cette sympathique comédie qui bénéficiait d'une solide réputation spectateurs. Et en effet, c'est une réussite, que ce soit au niveau de ses personnages que du scénario rocambolesque et enlevé. La scène du braquage est une vraie récompense pour le spectateur. Emotions et humour cohabitent à merveille. Gros capital sympathie pour Louis Garrel qui représentait jusque-là ma Némésis dans le cinéma français. Reste que c'est un peu rapide par moments et l'impression d'avoir vu un assemblage de vignettes plutôt qu'un grand geste cinématographique. Hautement recommandable pour passer un bon moment.

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7 (Arte+7)

Une petite comédie dramatique norvégienne, trash par petites touches, assez réjouissante. Les scènes de sexe explicites et le côté vulgaire et imprévisible de la future mère décadente apportent du fun immédiat. Ajouté à ce cocktail savoureux quelques séquences mêlant animation et prise de vue réelle et l'on obtient un divertissement original et dépaysant. Le film se veut clairement féministe et il l'est, sans pour autant alourdir le récit. Le semi happy end qui réhabilite ces loosers très rapidement réduit la portée du film, mais on évite heureusement le final pro life qui aurait été à l'encontre du message du film et tant mieux. Merci Arte pour cette petite sucrerie nordique.

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7 (C)

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7 (C)

Une plongée immersive dans une cour de récré aux côtés de vils bambins ou la loi du plus fort règne en maître. Toujours à hauteur d'enfants, Laura Wandel capte de ses deux acteurs principaux énormément d'émotions, c'est remarquable. Le film a la politesse de ne durer que 70 minutes pour épargner le spectateur car le film est rude et sans concessions. Après, le film peine à dépasser mes yeux le simple exercice de style sans aller au-delà de son postulat de base. Mais le résultat demeure remarquable.

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7 (C)

Heureux comme un gosse de retrouver ce parfum 80's / 90's du blockbuster US. Le nom de Jerry Bruckheimer au générique n'y est pas étranger certainement. Par contre on retrouve également les grosses ficelles hollywoodiennes et le scénario est cousu de fil blanc. Néanmoins, le spectacle est assuré et les scènes d'avion spectaculaires, en plus d'être généreux dans son climax. Cette suite surclasse en tout point l'original qui était vraiment un produit de son époque. Tom Cruise est éternel !

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7

Un Pixar mineur en terme d'ambitions visuelles mais non dénué de charme. La réalisatrice Domee Shi semble avoir eu quartier libre pour s'exprimer. Il en résulte un film personnel, aux multiples références années 2000. Meilin devient le miroir de la réalisatrice il y a 20 ans. La trame demeure classique pour un Pixar. On parle de filiation et de devenir adulte. Inside/Out lui fait un peu d'ombre pour ses frêles épaules. Mais j'ai tout de même été surpris qu'un dessin animé aborde aussi frontalement les règles. Je pensais que le panda roux en serait juste la timide métaphore. Même lorsque un nouveau Pixar peine à convaincre pleinement, le film demeure largement au-dessus de la moyenne.

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7 (Arte)

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6,5 (C)

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6,5 (C)
Festival Hallucinations collectives 2024

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6,5 (Netflix)

Une belle surprise que ce Monstre des mers disponible sur Netflix. Il y a un vrai souffle épique aux côtés de ces chasseurs de montres marins. C'est visuellement très accrocheur, fourmillant de détails qui raviront les amoureux de la voile et jouant à merveille des jeux d'échelle pour magnifier le gigantisme des créatures.
Son seul défaut est de sortir après la trilogie Dragons et de sentir quelque peu le réchauffé. Je trouve le dernier acte plus faiblard et le monstre star un peu décevant également. Mais ça reste un divertissement familial très recommandable.