Les meilleurs films de blaxploitation selon Ugly

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le 1er gros budget pour un film blax, produit par la MGM, et surtout qui introduit John Shaft, le privé black tout puissant, une véritable icône de la culture noire et de Harlem, faisant de Richard Roundtree une star... mais le film a aussi un autre atout : sa légendaire musique signée Isaac Hayes, au ton très soul, style de musique qui va baigner ses 2 suites, une série TV et un remake

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Pam Grier devient avec ce film l'égérie de la blaxploitation, cocktail agréable de polar, d'action et d'érotisme, assorti d'un message progressiste et social sur une excellente BO de Roy Ayers

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second film consacré aux exploits de Shaft, avec toujours sa musique cool

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Tamara Dobson fut lancée dans ce film d'espionnage pour concurrencer directement Pam Grier, avec des atouts de charme et de choc identiques, elle y côtoie Antonio Fargas qui fera une jolie petite carrière avant de rejoindre ses potes Starsky & Hutch dans le rôle facétieux de Huggy-les-Bons Tuyaux

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un polar dur et violent, avec un personnage de flic blanc raciste qui s'oppose au bon détective noir, qui permet à Yaphet Kotto de se faire connaitre en tenant la distance face à Anthony Quinn

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ce film très distrayant se paye les 3 stars des films blax, car réunir Fred Williamson, Jim Brown et Jim Kelly dans une même production était en soi un exploit

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un des meilleurs rôles de Fred Williamson dans une sorte d'imitation du Parrain en version black, et musique de James Brown

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un des meilleurs films blax, avec la musique de Curtis Mayfield

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tourné juste après Coffy, Pam Grier rempile dans un rôle de justicière urbaine sexy, ses robes sont d'une audace affriolante

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le 1er grand film d'arts martiaux de Jim Kelly en vedette, qui venait de se faire connaitre internationalement auprès de Bruce Lee dans Opération Dragon

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Jim Brown décanille sec dans cette suite de Slaughter

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c'est le film d'action au style violent et rugueux qui préfigure un peu les films de Bruce Willis ou de Stallone dans la décennie suivante... le concept sera repris dans Action Jackson en 1988, avec Carl Weathers remplaçant Jim Brown

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on peut s'étonner de voir un Bond dans ce Top, mais toute l'action de la première partie se déroule à Harlem au milieu d'une forte communauté d'acteurs noirs, dont Yaphet Kotto est le méchant de l'histoire (et Julius Harris, habitué des films blax)... cette longue séquence est tournée dans un style très blaxploitation, Bond s'est ainsi frotté au genre en opportuniste qu'il est, comme il ira dans l'espace en 1979 lors de la vogue SW

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Fred Williamson dans un film d'action inspiré du courant arts martiaux en vogue au début des 70's

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un des tout premiers films blax, le style prend ses marques doucement

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3ème film de Shaft, c'est le moins réussi, mais il reste regardable

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Jim Kelly rempile dans le style arts martiaux, mais déjà la mode des films blax commence à s'user

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le film met en vedette une autre actrice très sexy destinée encore à concurrencer Pam Grier, mais cette dernière reste indétronable...

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un étonnant film qui se rattache au courant blax, réalisé par un Italien en associant étrangement Isaac Hayes à Lino Ventura

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le film n'est pas à proprement parler un film blax, puisque non situé dans un milieu urbain, mais le lieu de l'action est dans le Sud à l'époque des esclavagistes en 1840, et il permet au boxeur Ken Norton de faire ses premiers pas d'acteur

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Pam Grier incarne encore une femme à poigne très sexuée, mais le film est inférieur à Coffy et Foxy Brown

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Fred Williamson dans ses oeuvres, un film très remuant...

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pas vraiment un film blax, mais la présence de Pam Grier suffit pour l'y rattacher, en plus le ton du film est celui d'un classique WIP (Women in prison), genre que Pam abordera plusieurs fois, notamment avec Women in cages en 1971...

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la blaxploitation investit aussi le western, même si c'est réalisé par un Italien en Espagne, on y trouve Fred Williamson et Jim Brown face à Lee Van Cleef

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catalogué carrément comme un plagiat black de L'Exorciste, le film fit l'objet d'un procès et reste médiocre

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le film d'horreur fut aussi visité par le courant blax, avec le moins pire mais aussi une pas si terrible tentative de Dracula noir

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la comédie musicale était logique dans la blaxploitation, puisque la musique y a toujours occupé une place importante, mais ici, le ton est décousu et assez ennuyeux, en dépit de chansons entrainantes

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cette comédie musicale qui se veut une version black du Magicien d'Oz et qui permit à Michael Jackson d'aborder le cinéma auprès de Diana Ross, marque le déclin des films blax