Les meilleurs jeux d'horreur selon Leon9000

Annotation :

Quelques séquences faisaient quand même un peu flipper à l'époque entre l'U3 et les Regeneradores. Oh et puis l'Alien quand même et les insectes invisibles, beurk...Pas si orienté action que ça le Resident Evil 4 tout de même. :p

Même s'il faut être honnête, la connerie d'Ashley fait évidemment plus peur que tout le reste. :p

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Un Remake réussi mais pas à la hauteur de son ainé. Il aurait notamment mérité d'accentuer davantage sa composante horrifique comme les premières heures semblaient le suggérer.

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-L'atmosphère sonore de l'Ishimura et ses sursauts au moindre claquement métallique.

Un Action Horror qui ne se focalise pas sur l'économie de munitions puisqu'il encourage au contraire la confrontation et à éliminer tous ses monstrueux adversaires, forçant ainsi le joueur à devenir aussi agressif et impitoyable que les créatures déshumanisées qui lui font obstacle.

Toutefois, le jeu est encore aujourd'hui un modèle de maitrise dans le déroulement de l'action et la disposition des ennemis pour renforcer en permanence la tension du joueur qui ne peut jamais se permettre un moment de relâchement.

-Les séquences dans l'espace où le son des ennemis est étouffé tandis que celui de la respiration d'Isaac devient omniprésent.

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Les Zombies peuvent encore faire peur en 2019.

Les Lickers le font assurément.

Le Tyran fait perdre toute la confiance accumulée jusqu'ici, au moment où le jeu te laisse croire que tu commences à maîtriser la situation.

La scène avec l'Alligator géant m'a par contre sincèrement fait marrer. :p

La séquence de l'Orphelinat avec Sherry m'a sincèrement fait flipper.

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"Tout le charme du jeu réside dans sa caractéristique la plus controversée : l'impossibilité de brandir une lampe torche et une arme à feu en même temps; une contrainte peu vraisemblable mais qui constitue clairement l'essence même du jeu : chaque pièce a ainsi été étudiée pour offrir une source d'éclairage différente afin de distinguer un minimum la menace tapie dans le noir et à ce titre, le jeu fait encore merveille, même en 2025 par son inventivité visuelle. De la même manière que la physique d'Half Life 2 enterre encore aujourd'hui de nombreuses productions de l'industrie, la gestion des lumières de Doom 3 force encore le respect et nous fait dire que le médium a décidément régressé sur certains points en l'espace de vingt ans. Une feature essentielle qui a pourtant été écartée de la BFG Edition qui octroie une lampe torche classique accrochée à notre fusil; je ne saurais pourtant que trop vous conseiller d'opter pour la version originelle où le sentiment d'insécurité est vraiment palpable à chaque couloir. "

Annotation :

Le hors champ des angles de caméras fixes.

Ces putains d'araignées. Je déteste les araignées!

Les requins (forcément)

La rapidité des Hunters (laisse moi le temps de tirer, enfoiré!)

Les corbeaux.

Lisa Trevor.

Les zombies, franchement ça va. :p

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Comme je l'explique plus longuement dans ma critique, le jeu n'est pas véritablement effrayant à proprement parler puisqu'il ne succombe jamais à la tentation du Jump Scare ou des effets d'épouvantes faciles mais il parvient à distiller une atmosphère oppressante, terriblement pesante, qui rend chacun des pas du joueur accompagné d'une terrible appréhension.

Ceci étant dit, la course poursuite contre Pyramid Head dans le couloir exigu et la descente aux enfers dans l’Hôtel inondé m'ont tout de même sacrément traumatisés. :p

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Ce troisième opus lorgne légèrement davantage du côté de l'action, notamment par l'intermédiaire d'un arsenal plus fourni et d'un bestiaire plus diversifié, de telle sorte qu'il instaure un malaise moins oppressant que celui du deuxième volet.

A l'exception des nombreuses séquences dans le Monde des Ténèbres qui prennent ici véritablement la forme d'une Descente aux Enfers dont la morbidité toujours grandissante met à rude épreuve la résistance mentale des âmes infortunées qui errent en ces lieux maudits.

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"Le cadre est assez atypique puisque toute l'action se déroule dans un vaisseau spatial à la dérive et se focalise sur la cohabitation difficile avec les autres survivants tandis que notre sauveur autoproclamé sombre peu à peu dans la folie. C'est là le premier trait d'excellence du jeu : celui de nous faire incarner un personnage s'avérant être à bien des égards l'antagoniste principal du récit, même si le scénario laisse suffisamment de zone d'ombres pour laisser le joueur se faire sa propre opinion sur la responsabilité de chacun au lieu de lui imposer une morale avec le didactisme manichéen qu'affectionnent les productions modernes. Le basculement vers l'horreur est également bien orchestré malgré une chronologie qui se veut pourtant non linéaire (et là aussi bien mieux gérée que dans Frank Stone); un simple coup d’œil à l'état du vaisseau suffit néanmoins à se situer dans la temporalité et il est assez dérangeant de voir les protagonistes sombrer peu à peu dans la déliquescence; le jeu s'avère au demeurant destiné à un public averti : on frisonne par moments et ça fout carrément la gerbe pendant quelques séquences."

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Le château des Dimitrescu. Sa grande Dame. Ses filles moucheronnes.

La maison des poupées. Le mannequin. Le bébé. Surtout le bébé...Et ce sound design de l'angoisse.

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"Mundaun ne réinvente pas la roue de l'interactivité (les emprunts à Resident Evil et Amnesia sont légion) mais il se distingue de ses pairs d'entrée de jeu par son folklore atypique et son cadre inattendu pour un périple angoissant ; qu'il s'agisse de la langue Romanche employée dans le jeu, de l'apparence de nos antagonistes ou d'une progression qui nous invite pour une fois à gravir les sommets au lieu de nous enfoncer dans les tréfonds de la terre, vous n'aurez pas l'impression d'avoir déjà joué 10000 fois à ce jeu durant votre aventure, un sentiment qui se raréfie malheureusement dans le domaine assez codifié du Survival Horror. Mais plus important que tout, Mundaun parvient à trouver une étonnante harmonie entre son décor invitant à la contemplation (et parfois même à la poésie) et l'horreur qui s'immisce peu à peu dans les prairies; le titre est marqué par une excellente gestion du surnaturel où la menace principale est identifiée quasiment d'entrée de jeu et où le titre se permet pourtant de nombreuses ruptures de ton au moment où on pense avoir déjoué les tours de ce vilain Diable."

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La composante horrifique en elle même est assez risible en 2021 mais son alternance avec l'action effrénée du titre demeure, elle, toujours assez atypique. Et quelle adrénaline! Cette IA! Ces ralentis! Ces Pan Pan Boum Boum!

Bon et je n'ai pas eu extrêmement peur en y jouant récemment mais à mon avis, si j'avais découvert ce titre en 2005, ça aurait pas exactement été pareil. ;p

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Le sound design. Le moindre craquement, le moindre impact dans les canalisations, le moindre son de ce détecteur de mouvements que je finissais par plus regarder à force de devenir paranoïaque. Le Xénomorphe n'est concrètement présent que la moitié du temps de jeu mais sa présence n'en est pas moins omniprésente par cette écrasante atmosphère sonore. Avec un casque sur les oreilles, c'est juste l'enfer. :p

L'Alien. Je reste mitigé sur le gameplay associé à la créature outre son invulnérabilité parfois grotesque s’apparentant à une solution de facilité et le jeu de cache cache rapidemment rébarbatif qui en découle. Toutefois la créature a bénéficiée d'un soin de retranscription admirable vis à vis du premier film et matérialise par instants la véritable sensation d'un cauchemar incarné.

Le centre médical s'articulant entièrement sur la mécanique de survie contre l'Alien sans aucun espoir de riposter à ce moment là.

Être utilisé comme appât et attendre avec angoisse que le Sas soit accessible (avec ce putain de pourcentage d'ouverture qui se fait entendre dans la pièce assombrie)

Cette descente littérale aux enfers et les signaux innombrables du détecteur de mouvements.

Annotation :

Je n'aurais probablement jamais réussi à finir ce jeu si je l'avais pas fait en coopération avec un ami. Mais pour retenir ce qui m'a le plus traumatisé dans cette ambiance poisseuse et oppressante :

La Main.

Les Bakers.

Dommage que la deuxième moitié du jeu passe en mode Rambo décérébré.

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Bien plus angoissant quand il étouffe le joueur dans des niveaux cloisonnés et fluctuant en temps réel que quand il enchaine laborieusement les JumpScares à répétition. L'immersion dans ce New York cauchemardesque a été étouffante à plus d'une reprise.

Annotation :

Je n'ai très clairement pas eu peur dans ce titre et ce n'est pas un grand courageux téméraire face à la pétoche interactive qui vous le dit mais le jeu lorgne très clairement vers la tension horrifique d'un Resident Evil 4 que l'ambiance oppressante d'un Resident Evil Rebirth (ce qui n'est pas un commentaire péjoratif pour moi) mais j'avais néanmoins envie de l'inclure dans cette liste pour cette belle proposition d'une science fiction crade et poisseuse, même si la peur n'est clairement pas illustrée avec une grande subtilité, nous sommes d'accord.

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L'ambiance globale. Cette impression permanente de ne jamais être en sécurité.

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Le manoir de Ruvik. L'apparition aléatoire de Ruvik dans des couloirs beaucoup trop étroits pour le contourner m'a fait arrêter le jeu pendant un an et demi (je le trouvais assez rébarbatif à jouer au demeurant et il a fallu l'approche imminente du second opus pour me décider à le finir complètement).

La plupart des boss sont également effrayants mais la Femme Araignée et son sound design terrifiant figure largement en tête.

Le niveau à l'atmosphère très Silent Hillienne, introduisant des ennemis invisibles, mérite également d'être mentionné, d'autant qu'il s'agit finalement du passage le mieux maitrisé du jeu.

Annotation :

Je n'ai pas réussi à finir ce jeu parce que j'avais trop peur. :p

Voilà, voilà.

Le monstre invisible dans l'eau est quand même ce que je retiens de plus. :p

Annotation :

Mention spéciale pour ce jeu de science fiction assez angoissant autant dans le design de ses antagonistes que l'atmosphère sonore (il en restera quelques échos dans la première partie de Bioshock).