Les meilleurs jeux vidéo des années 2010 selon Gilraën

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Le Prodige.

Initialement projet étudiant transformé en bijou de game design, Outer Wilds est l’expérience sidérante des années 2010. Ode à la science et l’astronomie, une vertigineuse odyssée spatiale et poétique qui saisit le joueur d’angoisse et de mélancolie face à la présence cosmique de l’Univers.

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Le Professionnel.

Celui qui fait tout avec rigueur et talent.
Clairement l'une des plus grosses pépites des années 2010. Un RPG incontournable, porté par une écriture, une technique et une intelligence à couper le souffle.

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Le fidèle Compagnon.

Le jeu de l'évasion avec lequel j'ai traversé la décennie années après années.
Il a ses défauts, ses choix qui n'ont pas plu à tous, mais avec mes +2500h au compteur et autant de souvenirs, c'était un top 3 assuré.

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Le [Dé]Constructeur

Porté par son identité singulière, NieR:Automata possède la marque des grands jeux : il continue de nous hanter après avoir posé la manette. Un jeu qui ne se contente pas d'émouvoir, mais qui interroge le joueur, qui interroge son media et le pousse vers l'avant.

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Le Révolutionnaire.

Minecraft, c'est peut-être le plus inattendu et impactant des jeux de ces dernières années. Liberté et Création, à ses débuts, Communauté par la suite. Les surcouches de mise à jour ont un peu entaché l'esprit du jeu au fil du temps, mais tout de même, quelle claque.

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L’Orfèvre.

Un jeu d’artisans. De ceux qui peaufinent le moindre détail pour parachever leur plus belle pièce.
Univers graphique, musical, lore, gameplay, level design, difficulté, tout y est précis et finement ciselé. Un Metroidvania à ne pas manquer.

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Le Maitre du Jeu.

S'il y a un jeu conçu par des rôlistes, pour des rôlistes, c'est Divinity : OS. Il capte l'essence du JDR sur table comme aucun autre.
Un level design et une écriture plein d'intelligence qui vous feront fumer le ciboulot et vous tordre de rire d'une minute à l'autre.

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L'Anticonformiste.

A une époque marquée par les franchises qui se clonaient comme des petits pains, Infinite décide que non ! il conservera l'essence de ses ainés tout en s'en démarquant fermement.
Son éclat est à Columbia ce que les ténèbres étaient à Rapture. Un parti-prix ambitieux, culotté, et réussi.

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Le Rêveur.

Difficile d'envisager le top 10 d'une décennie sans un Elder Scrolls.
Comme d'hab' il traine ses défauts, mais comme d'hab' également, il enchante et incite à l'évasion.
Puis qui se souvient un peu de ses rêves sait qu'il y a toujours plein de bugs à l'intérieur.

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L’Artiste.

Catégorie florissante dans laquelle beaucoup privilégieront Journey, mais je n’y ai pas joué. Pour ma Part, GRIS et Child of Light sont de bons challengers en matière d’esthétisme, en particulier ce dernier avec son atmosphère de conte et ses mécaniques de J-RPG.

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Le Perfectionniste.

Celui qui marche dans les pas de son grand frère, admirateur de son aura.
Il tentera de le surpasser sur tous les plans. Il ne parviendra pas à recréer la surprise ni à égaler son scénario ; mais pour tout le reste, ses arguments sont solides et on peut dire qu'il a rempli son objectif.

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Le Poète.

Un bon représentant de la poésie dans le jeu vidéo.
La preuve, s'il en faut encore une, que le média s'adresse au plus grand nombre et qu'il est capable de manier tous les arts en même temps.

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Le Phénix.

Quelle meilleure image pour Kratos que celui qui renait de ses cendres ?
Pas la claque annoncée pour moi, car symptomatique d’une époque où les triples A se ressemblent. Mais un renouvellement de la licence appréciable, et un game feel exemplaire.

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Le Nostalgique.

Le jeu vidéo, c'est forcément un peu la nostalgie. Et économie oblige, cette décennie fut aussi celle des Remake et Remastered. N. Sane Trilogy s'impose comme l'un des meilleurs.

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Le Cartésien.

Le génie du game design incarné. Puzzle-game à l’ambiance reposante, il ne vous laissera pas progresser en toute sérénité pour autant.
En bon rationaliste, The Witness oublie malheureusement de proposer un semblant de narration qui lui fait défaut, mais on s’incline devant l’intelligence du jeu.