Encore pire que Ufabulum, avec notamment une fin d'album qui vous fout un mal de crâne carabiné. Dommage, car cette fois l'artiste travaille avec des "instruments" crées de toutes pièces pour l'intégralité de l'album (en se servant d'un certain "Bespoke System" développé depuis plus de dix ans), à tel point qu'il associe la création de ces instruments à de la composition. Ça s'apparente donc à du chiptune, sauf que ça n'en a ni le charme ni la musicalité. Va falloir ramer encore plusieurs albums pour effleurer le talent de Dubmood avec, au hasard, son célèbre et emblématique Afterburner.
Car ce Damogen Furies ne nous emporte pas bien loin de la planète Terre, avec des sonorités encore trop dubstep. Du gâchis. Même Serge Gainsbourg faisait de la meilleure électro. (ô combien meilleure même)