Critique de Doing the Dishes par Sergent_Pepper
Pénible, geignard, peu inspiré dans ses mélodies. L'un des points faibles de la discographie des sublimes Nits.
le 12 oct. 2013
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On ne dit jamais du mal des Nits. « Petit groupe majeur », « groupe culte », « secret le mieux gardé », peux-on lire depuis des années mais jamais de mauvaises critiques comme-ci The Nits était un groupe sacré. Peut-être car le trio est hollandais (l’autre pays du fromage mais pas de la pop) ; peut-être car il sort son 18e album studio (ça force le respect) ; peut-être car il a dans sa discographie quelques albums majeurs (Urk ; Giant, normal, dwarf ; ting) ; peut-être tout simplement car ces Bataves sont extrêmement sympathiques et se produisent sur scène avec générosité. Avec Doing the dishes, le trio se retrouve en se disant que chaque nouvel album a valeur de bonus. Enregistré dans une maison entre l’usine et l’autoroute, cet album ressemble à l’ultime blague d’un groupe survivant d’artisans musiciens perdus dans un monde marchand.
Le but est simple : la joie de jouer et de partager et faire une musique idéale pour faire la vaisselle. C’est sûr, vos assiettes vont bouger…Goldman avait sorti en son temps Musique pour les pieds. Bob Dylan ou le classic rock de Tom Petty, The Nits ressemblent souvent à un groupe de pub du midwest faisant une musique enjouée, riche instrumentalement mais un peu bateau. On a presque l’impression d’entendre un album tardif des Silencers. Bref, sympathique mais un peu rance. Tiens j’ai dit du mal des Nits.
Créée
le 22 oct. 2016
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