Parisdeniernien par excellence, il est donc logique que j'ai découvert la pompe moderne au sein d'une compile de Béatrice Ardisson. Concept qui est devenu éculé par trop d'excès mais qui était encore original et sympa lors de la sortie de l'EP en 2007.
Tout connement, il s'agit de reprises de classiques de style différent, repris à la guitare sèche avec un timbre de voix à la Brassens. Ca fait toujours son petit effet en soirée. On a donc Le Mia d'IAM, le Bal de la compagnie créole, DJ de Diams et enfin Harder, Better, Faster, Stronger des Daft Punk.