Men in Balec
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Il va falloir songer à faire cesser cette nouvelle mode Hollywoodienne de « prendre un film, mettre une madame et refaire exactement comme celui d’avant mais en moins bien ». Mais pas aujourd’hui, puisque, aujourd’hui, c’était le massacre de Men In Black.
On a donc globalement le même schéma que pour Ghostbuster, c'est à dire, en gros le même film sauf que cette fois-ci l’agence est à Londres (alors on a des blagues sur le volant à droite au lieu du Jelly, c’est déjà ça) et Will Smith a finalisé sa transition (et se prend beaucoup plus au sérieux).
L’histoire est donc déjà vue, mais sert de prétexte à refaire les clichés de tous les films les plus récents. Un mélange entre la course de Pod Race de Star Wars Ep 1 et les fuites dans le souk de Marrakech (James Bond période Craig) ? On l’a, mais en moins inspiré. L’humour potache de 22 Jump Street, on a aussi, mais ça marche moins bien. Thor fait du Thor, mais il n’a pas de marteau. Quel intérêt ?
Bien entendu, le pseudo-cliffhanger est deviné dès les 6 premières minutes du film (et évidemment sans la moindre surprise). Il reste Tessa Thompson, qui joue donc un personnage jeune, brillant, particulièrement arrogant et un peu tête-à-claque. Comme dans la première trilogie, mais sans le plaisir de la découverte ni la joie communicative.
On pourrait bien sûr passer outre le piétinage du matériau original et regarder juste le film pour ce qu’il est. Mais ce n’est alors qu’un film d’action S-F générique, sans grand intérêt.
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le 12 juin 2019
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