En 2000, un producteur faisait un carton en France avec une recette à base de deux ingrédients majeurs : électro et jazz. Ainsi St Germain, via son album culte Tourist, allait ouvrir une voie – essentiellement commerciale – en se révélant au grand public, à tout un pan de la culture de la nuit. Entre floraison de compilations et nouvelle mode de bars de nuit type lounge, se voulant zen, classes et légèrement décadents, le jazz ou le latino s’accompagnait dorénavant du son feutré des machines… jusqu’à perdre de sa substance en ne devenant plus qu’une simple musique d’ascenseur.
Lire la suite ici : http://www.bubzine.fr/2018/10/04/leifur-james-silence/