Pink Floyd est sûrement l'un des groupes qui a le plus influencé le paysage musical tel qu'on le connaît de nos jours. Ils possèdent sûrement l'une des discographies les plus variées qui soit avec parmis eux des albums mythique comme The Dark Side of The Moon, The Wall ou encore Wish You Were Here qui sont tous quasiment sortis à la même période. Pourtant parmis eux se trouve l'album dont je vais vous parler dans cette critique : Animals.
Cet album est sortis deux ans après Wish You Were Here (1975) et deux avant The Wall (1979) et est passé quasi inaperçu à cause de la vague punk qui a causé la fin de nombreux groupes de rock que les punks qualifiaient de "dinosaures". Bref, c'est dans cette ambiance que sort Animals, album qui a permis au groupe de survivre à cette époque.
Animals est avant tout un album concept et comme le titre de cette critique l'indique, le concept se base sur La Ferme des Animaux de George Orwell, l'humanité ici est divisé en trois castes bien distinctes : Dogs : la petite bourgeoisie, la classe intermédiaire, les chiens qui recherchent le profit, qui exercent le contrôle des masses avec agressivité, Pigs : la bourgeoisie, les porcs qui baignent dans le luxe et l'oisiveté, et enfin Sheep : les moutons qui suivent docilement, comme aveuglés et impuissants.
C'est le dernier album où on a encore la présence du son floydien construit en grande partie par le claviériste Rick Wright ( paix à son âme ), sachant que The Wall tourne plus autour de Roger que des autres membres. Et puis mon dieu ce solo de David Gilmour sur Dogs.
Franchement je préfère vous le dire tout de suite si vous êtes amateur de rock prog courez l'écouter vous ne serez pas déçus !