Anton Newcombe nous revient avec un disque particulièrement inspiré, sur lequel il laisse tomber quelques éléments pénibles du moyen Who Killed Sgt. Pepper? pour mieux se recentrer sur ce qu'il sait faire de mieux: un psychédélisme euphorisant fortement influencé par les maîtres étalons 60's et 70's du genre, le tout teinté de touches orientales et modernistes fascinantes.
Les chansons s’enchaînent avec grâce et laissent entrevoir de belles mélodies et des idées en pagaille.
Comme quoi, quand le génie indomptable de Newcombe parvient à être un minimum contenu, le Brian Jonestown Massacre nous fait toujours planer aussi haut.