Je suis dans l'incapacité de dire ce qui m'a donné envie d'acheter cet album. Un coup de folie, sûrement. Peut-être aussi parce que j'étais en plein dans ma période Black Sabbath. Et que je voulais voir ce qu'Ozzy en solo, ça donnait.
Et bam! la déception. Pourquoi ? Parce que c'est de la soupe. Une espèce de soupe sirupeuse sans nom qui colle de partout. Rien à voir avec le Sabbath. Malgré deux trois morceaux pas trop mal (Crazy Train, Suicide Solution ou Mr Crowley), cet album se ramasse complètement. Le Prince des Ténèbres vire en princesse gothique glam et se sert de Randy Rhoads (grand guitariste au demeurant), jeune guitariste avec Flying V custom avec des pois blancs sur fond noir pour vendre son premier album solo.
Il est évident qu'il ne faut pas laisser Ozzy composer ou écrire des chansons, vu la piètre qualité des paroles (Mother Earth, You Looking at Me...).