Je n’ai jamais vu une aussi belle progression musicale que celle qui sépare Everything is Made of Stars de cet album, qui semble marquer un tournant par le rappel du nom de l’artiste en intitulé ("cavetown").
Tout, dans cet album, est mieux fait que dans les autres projets de Robin Skinner. Le chant y est plus expressif, en parfaite cohésion avec les instruments - majoritairement électroniques ici - et le rythme s’améliore - même si "Hazel" et "Banana Bread" le cassent un peu.
C’est aussi une sorte de conclusion au cycle de 4 albums - + un EP - aux accents Twenty One Pilots.
Une conclusion très élégante, qui ouvrira vers d’autres propositions artistiques.