Au milieu du grand bazar des compilations, des best of et autres foutoirs, il y a Electric Mud.
1968, l'ère psychédélique n'épargne pas le blues et Muddy Waters se ressaisie de ces grand classiques.
1995, Electric Mud me donne une grande claque et me plonge la tête dans le marigot.
Un véritable ovni musical : guitares saturées et grimaçante, une basse vrombissante et un blues opaque et gluant comme des eaux troubles.
Un conseil musical à tous ceux qui veulent aller un peu plus loin dans cette formidable musique et découvrir un artiste authentique