Enregistrement réalisé en 1992 qui réunit des artistes de générations différentes : Kraus (né en 1927) , Te Kanawa (1944) et Hvorostovsky (le "jeunot " de la distribution-né en 1962) pour un résultat plutôt convaincant, même si on sent que Kraus n'est tout de même pas un perdreau de l'année, bien que sa voix soit exceptionnellement bien conservée (il faut dire qu'il a vraiment bien géré sa carrière, n'allant jamais abîmé sa voix dans des rôles trop lourds pour lui). Avec une inversion des générations puisque Kraus interprète le fils, et Hvorostovsky le père...
J'avais acheté l'enregistrement pour Hvorostovsky et je ne suis pas déçue, d'autant plus qu'il est bien entouré.
C''est un rôle qu'il a d'ailleurs interprété tout au long de sa carrière, et sa dernière prestation scénique , à Vienne, en novembre 2016.