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Derrière Merrie Land se cache la voix de Blur, Damon Albarn. Second opus pour The Good, The Bad and The Queen (un nom de groupe aussi long qu'un jour sans pain, est-ce vraiment raisonnable ?) avec...
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le 18 mai 2019
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Derrière Merrie Land se cache la voix de Blur, Damon Albarn. Second opus pour The Good, The Bad and The Queen (un nom de groupe aussi long qu'un jour sans pain, est-ce vraiment raisonnable ?) avec Tony Visconti (producteur de Bowie) à la manoeuvre, ce qui laisse augurer du meilleur, d'autant plus que la fine équipe est composée de pointures, jugez plutôt : Paul Simonon (ex-Clash) à la basse, Simon Tong, guitariste de Verve et Tony Allen, excellent batteur, Albarn se réservant les compositions et le chant.
Exercice de style aux senteurs typiquement britanniques, Merrie Land importe en Europe continentale la désillusion des laissés-pour-compte du Brexit, véhiculant, au travers d'arrangements léchés, mélancolie et nostalgie dans un empire britannique jugé en pleine déliquescence. Le propos est plutôt glaçant et bien traité dans les ambiances tantôt faussement enjouées et légères.
Fruit d'une pop engagée et sincère, Merrie Land pêche cependant par une uniformité qui ne permet à aucun morceau de prendre le large.
Album condamné à un succès d'estime ?
Créée
le 18 mai 2019
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