Un album "bien nommé"!
Oui, cet album est bizarre. Et ça, Panic! l'avait bien senti, parce que, pour se sentir obligé de préciser dès l'intro, "You don't have to worry / Cause we're still the same band", c'est qu'il y a...
le 18 mai 2013
4 j'aime
Oui, cet album est bizarre. Et ça, Panic! l'avait bien senti, parce que, pour se sentir obligé de préciser dès l'intro, "You don't have to worry / Cause we're still the same band", c'est qu'il y a peut-être justement matière à s'inquiéter!
Et pour cause... l'album est à 1000 lieux de l'excellent A Fever You Can't Sweat Out, du moins dans son style musical.
En effet, bizarre ne veut pas dire mauvais, loin de là. L'album est vraiment de qualité. On est simplement plus dans l'esprit "Beatles, 60's et promenade champêtre" (ils se paient d'ailleurs le luxe de faire correspondre l'artwork de la pochette à son contenu!) que dans l'esprit "cabaret louche" du premier. Cette impression est sans doute renforcée par l'intervention de Ryan Ross dans les vocals et back vocals. Ce dernier se séparera d'ailleurs par la suite du groupe pour former The Young Veins, qui, oh surprise, est un groupe très stylé 60's (cf Take A Vacation).
Au final, c'est agréable à écouter, c'est frais et plutôt varié.
C'est juste pas du Panic! At The Disco. Je ne m'attendais pas à ça, mais après tout, pourquoi pas ?
On notera d'ailleurs que, pour cet album, ils avaient retiré le point d'exclamation du nom du groupe, qui est revenu avec l'album Vices & Vertues, marquant un retour à l'orthodoxie, si j'ose dire. Donc, effectivement, Pretty. Odd. était le titre parfait pour cet album! Bien joué!
Créée
le 18 mai 2013
Critique lue 224 fois
4 j'aime
D'autres avis sur Pretty. Odd.
Oui, cet album est bizarre. Et ça, Panic! l'avait bien senti, parce que, pour se sentir obligé de préciser dès l'intro, "You don't have to worry / Cause we're still the same band", c'est qu'il y a...
le 18 mai 2013
4 j'aime
On prend les mêmes et on recommence : ce deuxième album est dans la lignée du premier avec une meilleure production, une voix plus affirmée et un tube, Nine in the Afternoon. Malheureusement c'est le...
Par
le 23 nov. 2020
Du même critique
Soyons clairs : 4Kids a commis l'irréparable en remaniant le film à sa sauce. J'ai mis 7 à la version occidentale ; j'aurais facilement mis 9 ou 10 à la version originale. Pourquoi ? Parce que les...
le 17 mai 2013
27 j'aime
8
Pour commencer, j'ai eu un mal fou à retrouver ce livre parce que dans mon esprit, ça s'appelait "L'oiseau bleu" et non "le bel oiseau"... Je l'ai finalement retrouvé hier en faisant du rangement...
le 22 sept. 2013
15 j'aime
5
Les adaptations de jeux de drague forment décidément un genre à part dans l'animation japonaise. Si on en trouve de très réussies (Clannad, Kanon), certaines sont de véritables catastrophes. School...
le 27 avr. 2013
11 j'aime
14