C'est vieux, et ça s'entend. La compo est moins maîtrisée que sur des œuvres plus récentes, et pour être très honnête, les solos de Steve Howe sont bien crades. Sérieux, il faut pas shredder quand on joue crasseux, ça fait débraillé. Est-ce un problème d'excès de reverb ou un jeu véloce simplement mal maîtrisé ? J'avoue que j'essaye de me persuader que c'est le premier choix qui est le bon...
Mais le reste de l'orchestre est très solide (mentionnons la prestation très honorable d'Alan White à la batterie). Relayer restera à jamais l'un des albums fondateur d'un genre que Yes a grandement contribué à développer et que peu de groupes continuent à entretenir aujourd'hui (mais ceux qui le font s'en chargent avec brio).