Il y a peu de chant dans cet album et c'est assez déconcertant, mais on sent vraiment une envie de proposer autre chose que ce que le groupe a l'habitude de faire.
Il y a évidemment quelques gimmicks qui reviennent, mais Dream Theatre n'a pas choisi la facilité. D'un côté on a des riffs beaucoup plus Heavy, des passages où le clavier a beaucoup de place qui ont des airs de musique savante, et de l'autre des ballades parfois un peu molles.
C'est un disque dense en deux parties mais malgré toutes les bonnes intentions évidentes de la célèbre formation américaine derrière ce disque, je n'ai pas été pris par l'émotion. C'est bien de chercher à surprendre, c'est bien de sortir de sa zone de confort, mais si à la fin ça manque d'équilibre, c'est pas très digeste.
Créée
le 16 déc. 2022
Critique lue 8 fois
D'autres avis sur Six Degrees of Inner Turbulence
Je donne ici une critique très brève. La version longue viendra peut-être plus tard. Dream Theater avait pondu son chef-d'œuvre en sortant Scenes from a Memory en 1999, et le groupe devait enchaîner...
Par
le 20 déc. 2011
8 j'aime
3
Pourquoi 10/10 ? Parce que Six Degrees of Inner Turbulence ! Vous le comprenez sans doute, je parle là du morceau qui a donné son titre au double album, longue piste de 42 minutes qui remplit à elle...
Par
le 25 juil. 2014
7 j'aime
2
Scolaire et terriblement prétentieux. Sans parler des nombreux pompages éhontés. Cela dit ce n'est pas ce qu'ils ont fait de pire.
Par
le 18 mars 2020
1 j'aime
Du même critique
Ahlala c'est toujours embêtant de voir un méga classique du cinéma et de trouver ça ennuyeux comme la pluie. Le pire, c'est que je ne suis pas un cas isolé avec Le parrain, des gens qui trouvent ce...
Par
le 19 janv. 2019
50 j'aime
5
Ahlala les fans hardcore de Star Wars. Ces gens qui hurlent sur un film qui propose des idées et trouvent merveilleux un scénario absolument vide qui ne raconte rien, fait du fan service et se veut...
Par
le 30 déc. 2019
35 j'aime
13
J'aime bien Quentin Dupieux mais à un moment il faudrait quand même arrêter de se moquer du monde. Avec quatre stars à l'affiche et les débuts à l'écran de Manuel Guillot en second couteau, Le...
Par
le 17 mai 2024
27 j'aime
2
