Automne/hiver 2014, en 3ème dans un collège de la campagne audoise, je n'écoutais pas vraiment la musique tel qu'on pourrait l'entendre (se poser dans un coin, démarrer son service de musique streaming/tourne disque/ou tout ce que vous voulez), bref, la musique et moi, cela faisait deux, alors incultivé, je décidais d'écouter alors cet album à la pochette si iconique, qui semble intemporel, alors, je démarra Breathe, ensuite Time, et puis Money... Au fil des morceaux, je découvris alors mon intérêt pour ce groupe Londonien d'une époque bien lointaine désormais.
Mais non, malgré les décennies, et bientôt, le demi-siècle qui me sépare de cet album, je ne l'ai jamais trouvé "vieux", ou bien "démodé" comme ces musiques disco des années 80's qu'écoute volontiers mes parents, c'est ce genre de musique qui ne vieillit pas, qui séduit toujours autant l'oreille qu'à sa sortie chez les disquaires en Mars 1973.
Rien que pour ça, merci Pink Floyd, merci pour m'avoir donné goût au rock progressif, merci de m'avoir simplement donné goût à la musique et la beauté que renferme cet art.