Mon métronome fait des siennes
S'il devait y avoir, en 2011, un album pour accompagner une balade en voiture (prenez une vieille américaine, style Dodge par exemple) au bord de la mer, ce serait définitivement cet album.
Ne faites pas confiance au titre. Non, cet album n'a pas de consonance anglaise, mais plutôt américaine, côte Ouest, vers San Fransisco/Los Angeles. Non, cet album ne fait pas référence à une rivière, mais plutôt à une plage au bord de la mer ou de l'étendue océanique.
Cet album, pour moins d'une vingtaine d'euro, a le mérite de nous faire voyage, de nous faire faire le tour du continent américain.
Non, cet album n'a pas d'autre prétention. On peut le décrire comme album de l'année, comme consécration du groupe, ce n'est rien de tout ça.
The English Riviera, c'est tout simplement un voyage en décapotable, cheveux au vent, le long de la côté Ouest. Et si finalement c'était ça le bonheur ? Comme quoi, la pop a du bon.