The Golden Age has just begun.
Je crois que je n'ai jamais autant attendu un album que The Golden Age. A l'heure de sa sortie, je suis bien loin d'être déçue.
J'avais usé l'EP jusqu'à la corde. Chacune de ses chansons a été, tour à tour, ma préféré. Il m'a suivi de Lyon à Los Angeles, puis à New York, puis à Paris. J'écoutais Brooklyn à Brooklyn, c'en était presque mystique. Longtemps j'ai hésité à aller voir Woodkid en concert de peur que ce ne soit pas à la hauteur de mes écoutes solitaires. La théâtralité de cette musique si grandiloquente... il y avait de quoi craindre une perte.
Il n'en fût rien non plus.
Après un concert phénoménal au Grand Rex duquel, pourtant, j'attendais peu, je n'avais qu'une hâte : réécouter ces morceaux entendus en live et qui, depuis, étaient gravés dans ma mémoire.
Monsieur Lemoine, décidément, ne cesse de me surprendre.
J'ai reçu mon édition collector aujourd'hui, et le son est très fort dans mon salon. Je voyage, je pars à l'aventure. Juste comme avant. C'est parfait comme ça.
PS: Mention spéciale à Ghost Lights et Conquest of Spaces, dont j'écoutais sans cesse mon petit enregistrement de mauvaise qualité en bonne addict que je suis.
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