The Golden Age par Thibaut Ciavarella
Tout commence par un simple piano, se pose dessus une voix brumeuse saisissante, les violons viennent saisir l'émotion avant que les trompettes, tambour, violons, piano ne s'ajoute à l'ensemble apportant une dimension épique flamboyante !
L’ouverture magistral de The Golden Age à travers son titre éponyme décrit avec merveille l'univers de Woodkid, plus qu'un artiste, Yoan Lemoine est un architecte, a travers chaque morceau il ne fait que bâtir une cathédrale monstrueusement gothique ou baigne la mélancolie d'une ancienne lumière éblouissante qui semble disparaitre à jamais, pourtant une lueur pénètre bien cette cathédrale à travers ses vitraux, une lueur synonyme d'espoir.
Chaque vitraux sont inondés par les sublimes images des clips que fourni Woodkid, car bien plus que des percutions, ou des violons glaçants l'architecte offre des écrins splendide a certains morceaux à travers des clips vertigineux ne faisant que donner plus de corps à ses morceaux !
Véritable coup d'éclat dans l'univers de la musique, Woodkid livre une vraie proposition, forte, sensible, maitrisé à chaque moment ! Alors touché à cette cathédrale serait la dégradé, il faut laisser sur elle le temps la façonné, la laisser montré sa force face aux tempêtes car les fondations sont solides et impénétrables