Avec « Monument », Royksöpp trouve là l’un des plus envoûtants singles de l’année et nous rappelle qu’en termes de dancefloor soufflant le froid et le chaud, ils n’ont pas d’équivalent. The Inevitable End est à l’avenant, installant patiemment un climat assez unique, doux et tranchant à la fois. Norwegian touch !
Cet utilisateur l'a également ajouté à ses listes Les meilleurs albums de 2014 et Magik CDtek
Créée
le 15 sept. 2018
Critique lue 86 fois
D'autres avis sur The Inevitable End
Et la voilà, l'inévitable fin ! Ici, si j'ai bien compris, il ne s'agit pas de la fin d'un groupe mais de la fin de leurs albums physiques. Mais après tout, n'est-ce pas la fin du format physique...
Par
le 21 nov. 2014
4 j'aime
Avec « Monument », Royksöpp trouve là l’un des plus envoûtants singles de l’année et nous rappelle qu’en termes de dancefloor soufflant le froid et le chaud, ils n’ont pas d’équivalent. The...
Par
le 15 sept. 2018
Du même critique
La salle de procès qui introduit Les Chambres rouges est d'un blanc immaculé et incarne aussi bien l'inoffensivité de son propos que le vide existentiel qui traverse son héroïne Kelly-Anne. On ne...
Par
le 24 janv. 2024
8 j'aime
2
En interview dans le numéro d’avril de Mad Movies, Alex Garland se réclame d’un cinéma adulte qui ne donnerait pas toutes les clés de compréhension aux spectateurs, à l’instar du récent Anatomie...
Par
le 21 avr. 2024
6 j'aime
Pseudo film coup de poing filmé soi-disant en temps réel. Bon en fait c'est sidérant de littéralité (cf cette scène d'exposition interminable où la réalisatrice s'attache à bien cocher toutes les...
Par
le 2 janv. 2023
5 j'aime
