Pop progressive
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To The Bone, à condition qu'on l'aborde correctement pour ce qu'il est, s'avère être un album magnifique et marquant. Cela faisait longtemps qu'un album de pop sophistiquée ne m'avait pas autant prise aux tripes, devant souvent retourner justement trois décennies en arrière afin d'y retrouver ce plaisir. Car de ces dernières années, dans des registres un brin différents mais toujours poppys, seuls les Américains de Bent Knee, le Mute (2010) de Demians et les opus solo de Nehl Aëlin (Akphaezya) peuvent prétendre à autant faire vibrer ma fibre sensible et me laisser le cul à chaque écoute. En cela, To The Bone n'a pas à rougir parmi la discographie de son géniteur. Certes, il ne détrône peut-être pas son grand frère mais il ne lui en est pas moins inférieur : les deux sont juste incomparables.
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Créée
le 14 oct. 2017
Critique lue 282 fois
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